Les choses de la vie
Après l'enchantement qu'avait fait naître le premier tome du "Meurtre du Commandeur", et l'intérêt généré par l'abord de thèmes sans doute plus personnels pour son auteur, comme la création...
Par
le 14 nov. 2019
2 j'aime
J’avoue être restée perplexe devant cette œuvre d’Haruki Murakami. Beaucoup de questions restent sans réponses (je n’aime pas trop, et il y en a vraiment beaucoup, beaucoup). J’ai pourtant bien retrouvé la lenteur japonaise dans les descriptions minutieuses. Le Commandeur est toujours là, avec ses soixante centimètres, son épée miniature et sa curieuse façon de parler. « L’ami » du narrateur que le Commandeur appelle « le jeune Menshiki » garde son mystère. Mais, mais, je n’ai rien compris à la nécessité de l’épreuve subie par le narrateur à la fin du livre. C’est symbolique, je n’en doute pas une seconde, mais symbolique de quoi (de quoi dans le contexte du roman, sinon, j’ai quelques idées) ?
Bref, à vous de voir, j’aurais tendance à vous le recommander, sauf si 1Q84 ou Kafka sur le rivage vous ont profondément ennuyés (j’ai adoré). En tout cas, je vous déconseille de commencer par celui-là.
Créée
le 26 déc. 2024
Critique lue 3 fois
D'autres avis sur La métaphore se déplace
Après l'enchantement qu'avait fait naître le premier tome du "Meurtre du Commandeur", et l'intérêt généré par l'abord de thèmes sans doute plus personnels pour son auteur, comme la création...
Par
le 14 nov. 2019
2 j'aime
C’est ainsi que j’achève ma lecture de la – courte – série du Meurtre du commandeur. Rappelez-vous, le livre 1 s’intitulait « Une idée apparaît », cette fois c’est « La métaphore se déplace »...
Par
le 18 mars 2019
1 j'aime
J’avoue être restée perplexe devant cette œuvre d’Haruki Murakami. Beaucoup de questions restent sans réponses (je n’aime pas trop, et il y en a vraiment beaucoup, beaucoup). J’ai pourtant bien...
le 26 déc. 2024
Du même critique
Ben Ross, professeur d’histoire, peine à répondre aux questions de ses élèves sur le nazisme. Pourquoi personne n’a essayé de les arrêter ? Comment peut-on massacrer dix millions de gens sans que...
le 14 mars 2024
1 j'aime
J’ai préféré Retour à Killybegs de Sorj Chalandon à Mon traître, mais je ne l’aurais sans doute pas tant aimé si je n’avais pas lu ce dernier.Tyrone Meehan naît le 8 mars 1925 dans un foyer...
le 6 mars 2024
1 j'aime
Nul doute que Kochan, un garçon frêle et chétif, renvoie à Yukio Mishima lui-même. Il a écrit ce livre à 24 ans. Il en a fallu du courage pour laisser tomber le masque et publier ce roman dans le...
le 1 mars 2024
1 j'aime
2