L'actualité sur La mort de près
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Les meilleurs livres de Maurice Genevoix
et
@Plume : excellent petit ouvrage en effet. Il est le dernier opus de mon édition omnibus titrée "Ceux de 14"
Le 11 nov. 2024
@Jean Pour éviter de faire doublon dans ma bibliothèque, j'achèterai alors l'édition GF.
Le 11 nov. 2024
Emmaüs?tu veux dire chez l'Abbé Pierre?Ah non,désolé,je retire,j'avais oublié qu'on ne pouvait plus citer ce nom cancellé!
Le 11 nov. 2024
Le 11 nov. 2024
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1972 • livre de Maurice Genevoix
Résumé : "Dans La Mort de près, l'écrivain convoque à sa table de travail le lieutenant de 14, tel qu'il était, dans sa vareuse tachée de sang et de boue, sentant le cadavre et la chimie. Le jeune officier n'a plus peur, il ne souffre plus, ses larmes sont taries. Il parle calmement, posément, libéré du feu des souvenirs qui brûlait les pages de Ceux de 14. Il raconte de nouveau quelques moments de sa guerre, comment il a rencontré la mort et ce qu'il en a vu. Tout est clair. On y comprend ainsi, mieux que dans le récit haletant d'autrefois, le déroulement d'un combat d'infanterie au début de la Première Guerre mondiale. [...] Ce petit livre bouleversant est l'un des plus réconfortants jamais écrits". Extrait de la préface de Michel Bernard
1972 • livre de Maurice Genevoix
Résumé : "Dans La Mort de près, l'écrivain convoque à sa table de travail le lieutenant de 14, tel qu'il était, dans sa vareuse tachée de sang et de boue, sentant le cadavre et la chimie. Le jeune officier n'a plus peur, il ne souffre plus, ses larmes sont taries. Il parle calmement, posément, libéré du feu des souvenirs qui brûlait les pages de Ceux de 14. Il raconte de nouveau quelques moments de sa guerre, comment il a rencontré la mort et ce qu'il en a vu. Tout est clair. On y comprend ainsi, mieux que dans le récit haletant d'autrefois, le déroulement d'un combat d'infanterie au début de la Première Guerre mondiale. [...] Ce petit livre bouleversant est l'un des plus réconfortants jamais écrits". Extrait de la préface de Michel Bernard
1972 • livre de Maurice Genevoix
Résumé : "Dans La Mort de près, l'écrivain convoque à sa table de travail le lieutenant de 14, tel qu'il était, dans sa vareuse tachée de sang et de boue, sentant le cadavre et la chimie. Le jeune officier n'a plus peur, il ne souffre plus, ses larmes sont taries. Il parle calmement, posément, libéré du feu des souvenirs qui brûlait les pages de Ceux de 14. Il raconte de nouveau quelques moments de sa guerre, comment il a rencontré la mort et ce qu'il en a vu. Tout est clair. On y comprend ainsi, mieux que dans le récit haletant d'autrefois, le déroulement d'un combat d'infanterie au début de la Première Guerre mondiale. [...] Ce petit livre bouleversant est l'un des plus réconfortants jamais écrits". Extrait de la préface de Michel Bernard
1972 • livre de Maurice Genevoix
Résumé : "Dans La Mort de près, l'écrivain convoque à sa table de travail le lieutenant de 14, tel qu'il était, dans sa vareuse tachée de sang et de boue, sentant le cadavre et la chimie. Le jeune officier n'a plus peur, il ne souffre plus, ses larmes sont taries. Il parle calmement, posément, libéré du feu des souvenirs qui brûlait les pages de Ceux de 14. Il raconte de nouveau quelques moments de sa guerre, comment il a rencontré la mort et ce qu'il en a vu. Tout est clair. On y comprend ainsi, mieux que dans le récit haletant d'autrefois, le déroulement d'un combat d'infanterie au début de la Première Guerre mondiale. [...] Ce petit livre bouleversant est l'un des plus réconfortants jamais écrits". Extrait de la préface de Michel Bernard
1972 • livre de Maurice Genevoix
Résumé : "Dans La Mort de près, l'écrivain convoque à sa table de travail le lieutenant de 14, tel qu'il était, dans sa vareuse tachée de sang et de boue, sentant le cadavre et la chimie. Le jeune officier n'a plus peur, il ne souffre plus, ses larmes sont taries. Il parle calmement, posément, libéré du feu des souvenirs qui brûlait les pages de Ceux de 14. Il raconte de nouveau quelques moments de sa guerre, comment il a rencontré la mort et ce qu'il en a vu. Tout est clair. On y comprend ainsi, mieux que dans le récit haletant d'autrefois, le déroulement d'un combat d'infanterie au début de la Première Guerre mondiale. [...] Ce petit livre bouleversant est l'un des plus réconfortants jamais écrits". Extrait de la préface de Michel Bernard