Avec ce titre somptueux, « La nuit, j’écrirai des soleils », Boris Cyrulnik nous entraîne sur les chemins de la littérature ! Où plutôt sur les traces des écrivains ! A partir de sa propre histoire et de la capacité de certains de pouvoir dépasser leurs traumatismes, Cyrulnik, neuropsychiatre, décortique l’enfance troublée, abimée de certains auteurs et dissèque leurs processus de création littéraire.
Le concept de résilience qu’il a largement contribué à concevoir et vulgariser en France à partir des travaux de psychiatres américains spécialistes de la petite enfance est analysé ici à partir de l’histoire orpheline ou maltraitée ou abandonnique d’un certains nombres d’écrivains. De la perte ou du manque sort la créativité à condition d’accepter de griffonner encore et encore pour éponger et mettre du sens sur cette souffrance.
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