Longue phrase sans fin mêlant prostitution, oisiveté, errance, violence, amour et solitude au son de la pluie qui tombe, qui tombe, mouillant les cheveux et les vêtements de cet individu venu d'ailleurs qui interpelle un jeune homme dans la rue pour une chambre, un lit, une compagnie, malgré cette pluie qui semble, elle aussi, ne jamais devoir s'arrêter.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 1 avr. 2022
Critique lue 21 fois
D'autres avis sur La Nuit juste avant les forêts
C'est juste le plus beau monologue que le 20ème siècle ait porté. Une œuvre touchante et humaine, qui met en question notre société faiseuse de solitude, où l'individualisme (le chacun pour soi et...
Par
le 16 juil. 2010
11 j'aime
Dans un dernier souffle de vie, sans mettre fin à sa phrase, le personnage s'adresse à un homme et "le retient par tous les mots qu'il peut trouver" dit Koltès; à travers ce monologue vertigineux :...
Par
le 17 juin 2013
5 j'aime
C'est l'histoire d'un type qui aborde un inconnu dans la rue. Il lui parle de tout et de rien pour essayer de le retenir, pour ne pas passer la soirée seul ; il lui raconte ce qu'il a vu, ou fait, ou...
Par
le 22 févr. 2017
1 j'aime
Du même critique
Sans doute un des meilleurs jeux de la licence du point de vue du scénario et de l'environnement. L'open world va à merveille à la licence et les créatures sont plus vivantes que jamais. En revanche,...
Par
le 10 déc. 2022
1 j'aime
Ca commençait plutôt bien : une situation initiale étoffée, une relation originale entre le sadique et sa victime, un usage raisonné des jumpscares. Ce film d'horreur a le mérite de tenter quelque...
Par
le 13 juil. 2022
1 j'aime
Un livre de poésie que l'on aurait pu attendre dérisoire, comique, emprunté, mais qui sait transfigurer la plage et les baigneurs par un verbe d'une exigence remarquable et par de très belles...
Par
le 11 juil. 2022
1 j'aime
