C'est un plaisir que de se plonger dans l'univers torturé de l'auteur, encore une fois.
Pourtant, un vague sentiment de culpabilité me traverse quand je m'empare du bouquin avant de m'endormir. Est ce bien raisonnable? N'est ce pas un plaisir un tantinet malsain, que de se laisser guider dans une promenade à travers la cruauté et la perversité? Vais je faire des cauchemars?
Peu importe: Sir Chattam nous tient en haleine dés les premières pages, et nous frustre avec le point final. Un très bon polar, que je trouve bien rythmé et soigné.