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Hillja

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Les meilleurs livres de 2018

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

Le Bisclavret

a attribué 8/10 au livre

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

Ui1

a envie de lire le livre

RougeTurquoise

a attribué 9/10 au livre

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

Grenier1901

a attribué 8/10 au livre

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

r2phl

a envie de lire le livre

CorentinL

a attribué 8/10 au livre

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

ConstieProtais

a attribué 7/10 au livre

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

ConstieProtais

a attribué 7/10 au livre

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

ConstieProtais

a attribué 7/10 au livre

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

ConstieProtais

a attribué 7/10 au livre

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

belgandhi

a recommandé le livre

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

belgandhi

a attribué 10/10 au livre

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

pool29

a recommandé le livre

et lui a attribué 9/10

La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.

Pasiphae

a attribué 8/10 au livre

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La Première Année

2018 • livre de Jean-Michel Espitallier

Résumé : Tandis qu’au-dehors, à quelques centaines de mètres de chez lui, des attentats ensanglantent Paris, Jean-Michel Espitallier vit un autre drame, plus intime. Sa compagne, Marina, s’éteint, « assassinée » par le cancer. Ce livre est la chronique d’une disparition, qui enregistre – au sens musical du terme – la lente et calme approche de la mort, son surgissement, capté avec une rare acuité, puis la première année dans l’absence. Sans voyeurisme, mais avec parfois la crudité que suppose la grande intimité entre les corps, Jean-Michel Espitallier consigne, au fil des jours, les remarques, les pensées, les sentiments que la perte lui inspire. Rappelant le Journal de deuil de Roland Barthes, mais aussi la précision des romans d’Annie Ernaux, ce récit poignant raconte le progressif effacement des traces matérielles qui évoquent l’existence de l’autre, faisant une place toujours plus vaste au souvenir, devenu seule expérience du présent. Il dessine ainsi, en creux, un émouvant portrait de celle qui fut, celle qui n’est plus, et compose une intense méditation sur le Temps. Habiter la vie en poète, c’est aussi puiser dans les ressources de la langue pour tenter de saisir l’incompréhensible et de surmonter l’insupportable.