Impression bizarre en fin de lecture. J'en ressors avec un petit goût amer. Un malaise. Peut-être que je n'étais pas dans une humeur à lire ce genre de texte. Même si c'est parfois très joli, j'étais toujours gêné par ses pensées dues à sa maladie. Peut-être aussi qu'étant proche de ce qu'il vit, ses errements raisonnent difficilement avec les miens.
J'ai également été gêné avec quelque chose que j'ai du mal à identifier. J'ai comme une impression d'un narcissisme exacerbé. Je suis habitué des récits de soi, surtout par des dépressifs et mélancoliques mais ici, cela m'a semblé gênant. Peut-être encore une fois, n'étais je pas dans le bon état d'esprit pour apprécier cela. J'en garde un goût amer sans pouvoir l'expliquer plus précisément.