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La Retraite sentimentale

1907 • livre de Colette

Résumé : Très jeune... non, je ne suis plus très jeune. J'ai gardé ma taille, ma liberté de mouvements , j'ai toujours mon vêtement de chair étroite qui m'habille sans un pli... j'ai changé tout de même. Je me connais si bien ! Mes cheveux couleur de châtaigne étoffent toujours, noMbreux, pressés en boucles rondes, l'angle un peu trop aigu d'un menton qu'on s'accorde à trouver spirituel. La bouche a perdu de sa gaîté et, au-dessous de l'orbite plus voluptueuse mais aussi plus creusée, la joue s'effile, longue, moins veloutée, moins remplie : le jour frisant y indique déjà le sillon - fossette encore, ou ride déjà ? - qu'y modèle patiemment le sourire...

Blanchefleur321

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Spectateur-Emancipé
La Retraite sentimentale

1907 • livre de Colette

Résumé : Très jeune... non, je ne suis plus très jeune. J'ai gardé ma taille, ma liberté de mouvements , j'ai toujours mon vêtement de chair étroite qui m'habille sans un pli... j'ai changé tout de même. Je me connais si bien ! Mes cheveux couleur de châtaigne étoffent toujours, noMbreux, pressés en boucles rondes, l'angle un peu trop aigu d'un menton qu'on s'accorde à trouver spirituel. La bouche a perdu de sa gaîté et, au-dessous de l'orbite plus voluptueuse mais aussi plus creusée, la joue s'effile, longue, moins veloutée, moins remplie : le jour frisant y indique déjà le sillon - fossette encore, ou ride déjà ? - qu'y modèle patiemment le sourire...

Nicolas_Theys

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La Retraite sentimentale

1907 • livre de Colette

Résumé : Très jeune... non, je ne suis plus très jeune. J'ai gardé ma taille, ma liberté de mouvements , j'ai toujours mon vêtement de chair étroite qui m'habille sans un pli... j'ai changé tout de même. Je me connais si bien ! Mes cheveux couleur de châtaigne étoffent toujours, noMbreux, pressés en boucles rondes, l'angle un peu trop aigu d'un menton qu'on s'accorde à trouver spirituel. La bouche a perdu de sa gaîté et, au-dessous de l'orbite plus voluptueuse mais aussi plus creusée, la joue s'effile, longue, moins veloutée, moins remplie : le jour frisant y indique déjà le sillon - fossette encore, ou ride déjà ? - qu'y modèle patiemment le sourire...

Dany Selwyn
La Retraite sentimentale

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Résumé : Très jeune... non, je ne suis plus très jeune. J'ai gardé ma taille, ma liberté de mouvements , j'ai toujours mon vêtement de chair étroite qui m'habille sans un pli... j'ai changé tout de même. Je me connais si bien ! Mes cheveux couleur de châtaigne étoffent toujours, noMbreux, pressés en boucles rondes, l'angle un peu trop aigu d'un menton qu'on s'accorde à trouver spirituel. La bouche a perdu de sa gaîté et, au-dessous de l'orbite plus voluptueuse mais aussi plus creusée, la joue s'effile, longue, moins veloutée, moins remplie : le jour frisant y indique déjà le sillon - fossette encore, ou ride déjà ? - qu'y modèle patiemment le sourire...

DanyB

Dernier livre de la série des Claudine (et premier auquel le nom de Willy ne soit pas accolé à celui de Colette, celle-ci venant de se séparer de lui), « La retraite sentimentale » diffère légèrement des quatre précédents en ce qu’il se place davantage sous le signe de la maturité, voire presque de la vieillesse. Claudine ne découvre plus la vie, car elle a vécu. Aux deux, voire trois premiers tomes tournés vers l’avenir, succède un dernier volume tourné vers le passé. Outre les éternels jeux de...

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Le 8 juil. 2023

manon-pouetpouet

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La Retraite sentimentale

1907 • livre de Colette

Résumé : Très jeune... non, je ne suis plus très jeune. J'ai gardé ma taille, ma liberté de mouvements , j'ai toujours mon vêtement de chair étroite qui m'habille sans un pli... j'ai changé tout de même. Je me connais si bien ! Mes cheveux couleur de châtaigne étoffent toujours, noMbreux, pressés en boucles rondes, l'angle un peu trop aigu d'un menton qu'on s'accorde à trouver spirituel. La bouche a perdu de sa gaîté et, au-dessous de l'orbite plus voluptueuse mais aussi plus creusée, la joue s'effile, longue, moins veloutée, moins remplie : le jour frisant y indique déjà le sillon - fossette encore, ou ride déjà ? - qu'y modèle patiemment le sourire...

Montcornet

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1907 • livre de Colette

Résumé : Très jeune... non, je ne suis plus très jeune. J'ai gardé ma taille, ma liberté de mouvements , j'ai toujours mon vêtement de chair étroite qui m'habille sans un pli... j'ai changé tout de même. Je me connais si bien ! Mes cheveux couleur de châtaigne étoffent toujours, noMbreux, pressés en boucles rondes, l'angle un peu trop aigu d'un menton qu'on s'accorde à trouver spirituel. La bouche a perdu de sa gaîté et, au-dessous de l'orbite plus voluptueuse mais aussi plus creusée, la joue s'effile, longue, moins veloutée, moins remplie : le jour frisant y indique déjà le sillon - fossette encore, ou ride déjà ? - qu'y modèle patiemment le sourire...

Riz-Do

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AnnaStasi

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La Retraite sentimentale

1907 • livre de Colette

Résumé : Très jeune... non, je ne suis plus très jeune. J'ai gardé ma taille, ma liberté de mouvements , j'ai toujours mon vêtement de chair étroite qui m'habille sans un pli... j'ai changé tout de même. Je me connais si bien ! Mes cheveux couleur de châtaigne étoffent toujours, noMbreux, pressés en boucles rondes, l'angle un peu trop aigu d'un menton qu'on s'accorde à trouver spirituel. La bouche a perdu de sa gaîté et, au-dessous de l'orbite plus voluptueuse mais aussi plus creusée, la joue s'effile, longue, moins veloutée, moins remplie : le jour frisant y indique déjà le sillon - fossette encore, ou ride déjà ? - qu'y modèle patiemment le sourire...

Teldou

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Résumé : Très jeune... non, je ne suis plus très jeune. J'ai gardé ma taille, ma liberté de mouvements , j'ai toujours mon vêtement de chair étroite qui m'habille sans un pli... j'ai changé tout de même. Je me connais si bien ! Mes cheveux couleur de châtaigne étoffent toujours, noMbreux, pressés en boucles rondes, l'angle un peu trop aigu d'un menton qu'on s'accorde à trouver spirituel. La bouche a perdu de sa gaîté et, au-dessous de l'orbite plus voluptueuse mais aussi plus creusée, la joue s'effile, longue, moins veloutée, moins remplie : le jour frisant y indique déjà le sillon - fossette encore, ou ride déjà ? - qu'y modèle patiemment le sourire...

H. M.

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La Retraite sentimentale

1907 • livre de Colette

Résumé : Très jeune... non, je ne suis plus très jeune. J'ai gardé ma taille, ma liberté de mouvements , j'ai toujours mon vêtement de chair étroite qui m'habille sans un pli... j'ai changé tout de même. Je me connais si bien ! Mes cheveux couleur de châtaigne étoffent toujours, noMbreux, pressés en boucles rondes, l'angle un peu trop aigu d'un menton qu'on s'accorde à trouver spirituel. La bouche a perdu de sa gaîté et, au-dessous de l'orbite plus voluptueuse mais aussi plus creusée, la joue s'effile, longue, moins veloutée, moins remplie : le jour frisant y indique déjà le sillon - fossette encore, ou ride déjà ? - qu'y modèle patiemment le sourire...

Laurent Mapas

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La Retraite sentimentale

1907 • livre de Colette

Résumé : Très jeune... non, je ne suis plus très jeune. J'ai gardé ma taille, ma liberté de mouvements , j'ai toujours mon vêtement de chair étroite qui m'habille sans un pli... j'ai changé tout de même. Je me connais si bien ! Mes cheveux couleur de châtaigne étoffent toujours, noMbreux, pressés en boucles rondes, l'angle un peu trop aigu d'un menton qu'on s'accorde à trouver spirituel. La bouche a perdu de sa gaîté et, au-dessous de l'orbite plus voluptueuse mais aussi plus creusée, la joue s'effile, longue, moins veloutée, moins remplie : le jour frisant y indique déjà le sillon - fossette encore, ou ride déjà ? - qu'y modèle patiemment le sourire...