Dans ma longue quête de terminer la saga des Rougon-Macquart, je crois que je commence à avoir un petit aperçu d'un certain rythme.
J'apprécie environ un quart. Un autre quart me semble prometteur avant de me lasser. Un troisième quart me déplait assez rapidement. Et le dernier quart c'est des romans qui me laissent complètement de côté. Que je serai incapable de résumer dans deux mois car les mots défilent sous mes yeux sans que mon cerveau n'arrive à les imprimer. Je me force, je lutte. Et puis l'attention s'en va ailleurs. Et j'ai lu cinq pages et je me dis, mince, qu'est-ce que j'ai lu ?
Voilà ce qu'a été la Terre pour moi. Une lutte continuelle pour tenter de m'accrocher à cette histoire. Depuis le tout début. Jamais je n'ai été intéressé, embarqué, intrigué. Comme toujours rien de joyeux sous le soleil de Zola. Des viols, des morts, encore des morts.