Deuxième livre de l'Atalante lu en trois mois, et deuxième déception.
Alors que se passe-t-il dans cette maison d'éditions ? L'impression générale (parce que j'en sais rien au fond), c'est qu'on ouvre la porte à de nouveaux auteurs, français en l'occurrence, et avec la volonté de publier des livres plus proche dans leur forme de la littérature "blanche".
Le moins qu'on puisse dire, c'est que je suis moyennement emballé. Certes ce roman n'est pas mal écrit. On peut même se prendre au jeu de la sourde ironie et de l'humour grinçant qui ponctue les pages. Pourtant, je ne suis pas entré dans ce livre.
Plus les pages défilaient, plus cela me semblait vain. Une belle langue saupoudrée d'un vernis science-fictif ne suffit pas à faire un roman de science-fiction.
Si on comprend bien que la romancière parle ici de féminisme et joue des questions que peuvent soulever l'étude longtemps après des cultures disparues, la trame principale est ennuyeuse (ou plus exactement m'a ennuyée).
Pas convaincu par ce roman.