La Vie est brève et le désir sans fin par Plume
Ou le choix d'un roman uniquement sur le plaisir du titre... malheureusement l'habit ne fait pas toujours le moine et celui-ci a été bien loin de tenir ses promesses !
L'adultère on en mange à toutes les sauces, de la petite infidélité à la double-vie, au point qu'il devenu banal.
Quoi de plus misérable et ennuyeux au final que de suivre les petits mensonges et arrangements d'un homme entre deux femmes, qui ne sait pas trop au fond ce qu'il veut, qui se laisse aller et entretenir par toutes et tous.
Le roman manque de peu de décoller, notamment à travers le personnage de la jeune anglaise (dont oui je l'avoue j'ai déjà oublié le nom !) mais il s'avère comme le reste décevant et s'écroule avec le roman.
J'ai failli abandonner plusieurs fois, lassée de ne pas savoir où voulait en venir Lapeyre, je lui ai laissé une chance jusqu'au bout de se reprendre, de faire mieux, de me surprendre... en vain.
Quel gachis d'un si beau titre !