J’ai laborieusement lu 178 pages de ce premier tome de Latium (sur 550) avant de décider de l’abandonner définitivement (en sachant que le désir d’abandon était présent dès les 20 premières pages…). Aussi, cette critique n’est pas un avis sur l’ensemble de l’ouvrage mais ne se concentre que sur la partie lue et peu appréciée. Pourtant, Latium fait de belles promesses. L’univers d’anticipation imaginé par Romain Lucazeau est vaste, original sur bien des aspects et d’une indéniable richesse. De même, quelques mystères alléchants parsemés dans l’intrigue ainsi qu’un questionnement autour de la notion d’humanité sont autant d’éléments qui m’ont donné envie de m’accrocher aux pages et de faire un effort. Mais [...]
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