L'actualité sur Le Bruit du temps
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1925 • livre de Ossip Mandelstam
Résumé : « La littérature - c'est la bête. Le dépeceur - c'est la nuit et l'hiver. » Ce Bruit du temps qui s'achève sur cette sombre et sarcastique image est bien plus, bien moins qu'une autobiographie. Le je qui parle ici est un je passif par oû s'exprime l'époque. Le livre parut en 1925. Petits chapitres tendus, précis, cruels : il monte de ce livre laconique une musique insistante, le bruit d'une époque qui meurt. Mandelstam observe avec une acuité sans indulgence ce passé qu'il ne veut pas rapprocher, mais éloigner. Car la mémoire de Mandelstam n'est pas amie, mais ennemie du temps. Sa chronologie d'odeurs, de modes, de bribes de concert est plus sûre que celle des manuels. Les quatorze esquisses qui composent cet ensemble « impressionniste » de souvenirs arrachés à la nuit de l'oubli sont parmi les plus belles pages en prose du grand poète russe. Fragments d'un monde englouti dans le tourbillon révolutionnaire, elles restituent, mieux que ne le feraient les compilations des érudits ou les analyses des historiens, le ton subtil d'une fin de règne qui prend, avec le recul des événements et les enseignements de l'expérience, des allures de Belle Epoque. On saisit mieux, à l'écoute de ce « bruit » d'un temps révolu la secrète et inimitable substance dont était faite la Russie du début du siècle dernier apparemment engourdie et mystérieusement palpitante
1925 • livre de Ossip Mandelstam
Résumé : « La littérature - c'est la bête. Le dépeceur - c'est la nuit et l'hiver. » Ce Bruit du temps qui s'achève sur cette sombre et sarcastique image est bien plus, bien moins qu'une autobiographie. Le je qui parle ici est un je passif par oû s'exprime l'époque. Le livre parut en 1925. Petits chapitres tendus, précis, cruels : il monte de ce livre laconique une musique insistante, le bruit d'une époque qui meurt. Mandelstam observe avec une acuité sans indulgence ce passé qu'il ne veut pas rapprocher, mais éloigner. Car la mémoire de Mandelstam n'est pas amie, mais ennemie du temps. Sa chronologie d'odeurs, de modes, de bribes de concert est plus sûre que celle des manuels. Les quatorze esquisses qui composent cet ensemble « impressionniste » de souvenirs arrachés à la nuit de l'oubli sont parmi les plus belles pages en prose du grand poète russe. Fragments d'un monde englouti dans le tourbillon révolutionnaire, elles restituent, mieux que ne le feraient les compilations des érudits ou les analyses des historiens, le ton subtil d'une fin de règne qui prend, avec le recul des événements et les enseignements de l'expérience, des allures de Belle Epoque. On saisit mieux, à l'écoute de ce « bruit » d'un temps révolu la secrète et inimitable substance dont était faite la Russie du début du siècle dernier apparemment engourdie et mystérieusement palpitante
1925 • livre de Ossip Mandelstam
Résumé : « La littérature - c'est la bête. Le dépeceur - c'est la nuit et l'hiver. » Ce Bruit du temps qui s'achève sur cette sombre et sarcastique image est bien plus, bien moins qu'une autobiographie. Le je qui parle ici est un je passif par oû s'exprime l'époque. Le livre parut en 1925. Petits chapitres tendus, précis, cruels : il monte de ce livre laconique une musique insistante, le bruit d'une époque qui meurt. Mandelstam observe avec une acuité sans indulgence ce passé qu'il ne veut pas rapprocher, mais éloigner. Car la mémoire de Mandelstam n'est pas amie, mais ennemie du temps. Sa chronologie d'odeurs, de modes, de bribes de concert est plus sûre que celle des manuels. Les quatorze esquisses qui composent cet ensemble « impressionniste » de souvenirs arrachés à la nuit de l'oubli sont parmi les plus belles pages en prose du grand poète russe. Fragments d'un monde englouti dans le tourbillon révolutionnaire, elles restituent, mieux que ne le feraient les compilations des érudits ou les analyses des historiens, le ton subtil d'une fin de règne qui prend, avec le recul des événements et les enseignements de l'expérience, des allures de Belle Epoque. On saisit mieux, à l'écoute de ce « bruit » d'un temps révolu la secrète et inimitable substance dont était faite la Russie du début du siècle dernier apparemment engourdie et mystérieusement palpitante
1925 • livre de Ossip Mandelstam
Résumé : « La littérature - c'est la bête. Le dépeceur - c'est la nuit et l'hiver. » Ce Bruit du temps qui s'achève sur cette sombre et sarcastique image est bien plus, bien moins qu'une autobiographie. Le je qui parle ici est un je passif par oû s'exprime l'époque. Le livre parut en 1925. Petits chapitres tendus, précis, cruels : il monte de ce livre laconique une musique insistante, le bruit d'une époque qui meurt. Mandelstam observe avec une acuité sans indulgence ce passé qu'il ne veut pas rapprocher, mais éloigner. Car la mémoire de Mandelstam n'est pas amie, mais ennemie du temps. Sa chronologie d'odeurs, de modes, de bribes de concert est plus sûre que celle des manuels. Les quatorze esquisses qui composent cet ensemble « impressionniste » de souvenirs arrachés à la nuit de l'oubli sont parmi les plus belles pages en prose du grand poète russe. Fragments d'un monde englouti dans le tourbillon révolutionnaire, elles restituent, mieux que ne le feraient les compilations des érudits ou les analyses des historiens, le ton subtil d'une fin de règne qui prend, avec le recul des événements et les enseignements de l'expérience, des allures de Belle Epoque. On saisit mieux, à l'écoute de ce « bruit » d'un temps révolu la secrète et inimitable substance dont était faite la Russie du début du siècle dernier apparemment engourdie et mystérieusement palpitante
1925 • livre de Ossip Mandelstam
Résumé : « La littérature - c'est la bête. Le dépeceur - c'est la nuit et l'hiver. » Ce Bruit du temps qui s'achève sur cette sombre et sarcastique image est bien plus, bien moins qu'une autobiographie. Le je qui parle ici est un je passif par oû s'exprime l'époque. Le livre parut en 1925. Petits chapitres tendus, précis, cruels : il monte de ce livre laconique une musique insistante, le bruit d'une époque qui meurt. Mandelstam observe avec une acuité sans indulgence ce passé qu'il ne veut pas rapprocher, mais éloigner. Car la mémoire de Mandelstam n'est pas amie, mais ennemie du temps. Sa chronologie d'odeurs, de modes, de bribes de concert est plus sûre que celle des manuels. Les quatorze esquisses qui composent cet ensemble « impressionniste » de souvenirs arrachés à la nuit de l'oubli sont parmi les plus belles pages en prose du grand poète russe. Fragments d'un monde englouti dans le tourbillon révolutionnaire, elles restituent, mieux que ne le feraient les compilations des érudits ou les analyses des historiens, le ton subtil d'une fin de règne qui prend, avec le recul des événements et les enseignements de l'expérience, des allures de Belle Epoque. On saisit mieux, à l'écoute de ce « bruit » d'un temps révolu la secrète et inimitable substance dont était faite la Russie du début du siècle dernier apparemment engourdie et mystérieusement palpitante