Mika vit dans un orphelinat, à Stockolm, à la fin du 19° siècle. Débrouillarde et très observatrice, elle est repérée par un policier qui lui demande de l’aider à retrouver Le corbeau de nuit, un dangereux meurtrier que l’on pensait hors d’état de nuire.
La couverture, très attirante, a tenu ses promesses. L’histoire est bien ficelée, ça se lit bien. Mais ce que j’ai beaucoup aimé, c’est l’ambiance à la Dickens (la misère, l’orphelinat, les ruelles mal famées, …) Même s’il n’y a pas de scène choquante, le roman n’est pas édulcoré : l’auteur montre bien la condition des enfants des rues à cette époque, le peu de prix accordé à leur vie. Un roman passionnant, à lire à partir de 11 ou 12 ans.
Merci aux éditions Thierry Magnier et à Netgalley pour le service presse.
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