Drôle de façon d'écrire que celle de l'auteur qui, pourtant, semble en connaître un rayon sur le sujet qu'il aborde. Mais on dirait que son principe directeur est "l'effet wahou". Entendez par là qu'il vous décoche une bonne phrase en début de chapitre et puis brode superficiellement sur celle-ci pour se paraphraser à l'infini and beyond. Exemple : eros est atopique, le désir est sans lieu. Oui ? Vas-y, lance-toi. Mais non. On en reste un peu là (j'exagère, mais pas beaucoup) Résultat : oui bon, d'accord, c'est "intéressant" je présume, mais tu veux en venir où Byung-Chul ?


Pourtant Badiou fait la préface et ne se prive pas de le complimenter. Vu la distance qui sépare la qualité des écrits du premier et du second, je ne comprends pas très bien pourquoi. Peut-être suis-je juste insensible au style ici présent ? Ca m'a laissé la sensation d'avoir été vite torché pour étoffer une nouvelle collection chez un éditeur.

IIILazarusIII
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le 16 juil. 2015

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