L'actualité sur Le Gardeur de troupeaux et les autres poèmes d'Alberto Caeiro
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livre de Fernando Pessoa
Résumé : «À l'avant d'une modernité dont ce siècle à son déclin se réclame avec superbe, se dresse un homme qui fut obscur, effacé, inconnu de sa concierge, riche d'humour et rayonnant lorsque son miroir intérieur lui renvoyait son reflet futur. "Je ne suis rien", ce n'est pas une parole contrite du saint homme Job, mais un rappel de ce nada ibérique qui est au principe de l'être et à sa terminaison. Trois vers après cette affirmation du néant, survient cette antithèse éclatante : "Je porte en moi tous les rêves du monde" : un feu d'artifice cosmique. "Les poètes n'ont pas de biographie ; leur œuvre est leur biographie." Certes, Octavio Paz, la formule serait irréfutable si une œuvre au pluriel n'impliquait des poètes multiples. Pessoa, le nôtre puisqu'il est à tous, est un nom qui dans sa langue se traduit par personne – non le nemo latin qui gomme toute identité, mais persona dans l'acception de "masque" ; en ce cas, le verbe apocalyptique qui débouche sur l'énigme, sur l'ambiguïté, sur la supercherie ludique.»
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Résumé : «À l'avant d'une modernité dont ce siècle à son déclin se réclame avec superbe, se dresse un homme qui fut obscur, effacé, inconnu de sa concierge, riche d'humour et rayonnant lorsque son miroir intérieur lui renvoyait son reflet futur. "Je ne suis rien", ce n'est pas une parole contrite du saint homme Job, mais un rappel de ce nada ibérique qui est au principe de l'être et à sa terminaison. Trois vers après cette affirmation du néant, survient cette antithèse éclatante : "Je porte en moi tous les rêves du monde" : un feu d'artifice cosmique. "Les poètes n'ont pas de biographie ; leur œuvre est leur biographie." Certes, Octavio Paz, la formule serait irréfutable si une œuvre au pluriel n'impliquait des poètes multiples. Pessoa, le nôtre puisqu'il est à tous, est un nom qui dans sa langue se traduit par personne – non le nemo latin qui gomme toute identité, mais persona dans l'acception de "masque" ; en ce cas, le verbe apocalyptique qui débouche sur l'énigme, sur l'ambiguïté, sur la supercherie ludique.»
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Résumé : «À l'avant d'une modernité dont ce siècle à son déclin se réclame avec superbe, se dresse un homme qui fut obscur, effacé, inconnu de sa concierge, riche d'humour et rayonnant lorsque son miroir intérieur lui renvoyait son reflet futur. "Je ne suis rien", ce n'est pas une parole contrite du saint homme Job, mais un rappel de ce nada ibérique qui est au principe de l'être et à sa terminaison. Trois vers après cette affirmation du néant, survient cette antithèse éclatante : "Je porte en moi tous les rêves du monde" : un feu d'artifice cosmique. "Les poètes n'ont pas de biographie ; leur œuvre est leur biographie." Certes, Octavio Paz, la formule serait irréfutable si une œuvre au pluriel n'impliquait des poètes multiples. Pessoa, le nôtre puisqu'il est à tous, est un nom qui dans sa langue se traduit par personne – non le nemo latin qui gomme toute identité, mais persona dans l'acception de "masque" ; en ce cas, le verbe apocalyptique qui débouche sur l'énigme, sur l'ambiguïté, sur la supercherie ludique.»
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Résumé : «À l'avant d'une modernité dont ce siècle à son déclin se réclame avec superbe, se dresse un homme qui fut obscur, effacé, inconnu de sa concierge, riche d'humour et rayonnant lorsque son miroir intérieur lui renvoyait son reflet futur. "Je ne suis rien", ce n'est pas une parole contrite du saint homme Job, mais un rappel de ce nada ibérique qui est au principe de l'être et à sa terminaison. Trois vers après cette affirmation du néant, survient cette antithèse éclatante : "Je porte en moi tous les rêves du monde" : un feu d'artifice cosmique. "Les poètes n'ont pas de biographie ; leur œuvre est leur biographie." Certes, Octavio Paz, la formule serait irréfutable si une œuvre au pluriel n'impliquait des poètes multiples. Pessoa, le nôtre puisqu'il est à tous, est un nom qui dans sa langue se traduit par personne – non le nemo latin qui gomme toute identité, mais persona dans l'acception de "masque" ; en ce cas, le verbe apocalyptique qui débouche sur l'énigme, sur l'ambiguïté, sur la supercherie ludique.»
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Le 8 sept. 2024
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Résumé : «À l'avant d'une modernité dont ce siècle à son déclin se réclame avec superbe, se dresse un homme qui fut obscur, effacé, inconnu de sa concierge, riche d'humour et rayonnant lorsque son miroir intérieur lui renvoyait son reflet futur. "Je ne suis rien", ce n'est pas une parole contrite du saint homme Job, mais un rappel de ce nada ibérique qui est au principe de l'être et à sa terminaison. Trois vers après cette affirmation du néant, survient cette antithèse éclatante : "Je porte en moi tous les rêves du monde" : un feu d'artifice cosmique. "Les poètes n'ont pas de biographie ; leur œuvre est leur biographie." Certes, Octavio Paz, la formule serait irréfutable si une œuvre au pluriel n'impliquait des poètes multiples. Pessoa, le nôtre puisqu'il est à tous, est un nom qui dans sa langue se traduit par personne – non le nemo latin qui gomme toute identité, mais persona dans l'acception de "masque" ; en ce cas, le verbe apocalyptique qui débouche sur l'énigme, sur l'ambiguïté, sur la supercherie ludique.»
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Le 31 août 2024
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Résumé : «À l'avant d'une modernité dont ce siècle à son déclin se réclame avec superbe, se dresse un homme qui fut obscur, effacé, inconnu de sa concierge, riche d'humour et rayonnant lorsque son miroir intérieur lui renvoyait son reflet futur. "Je ne suis rien", ce n'est pas une parole contrite du saint homme Job, mais un rappel de ce nada ibérique qui est au principe de l'être et à sa terminaison. Trois vers après cette affirmation du néant, survient cette antithèse éclatante : "Je porte en moi tous les rêves du monde" : un feu d'artifice cosmique. "Les poètes n'ont pas de biographie ; leur œuvre est leur biographie." Certes, Octavio Paz, la formule serait irréfutable si une œuvre au pluriel n'impliquait des poètes multiples. Pessoa, le nôtre puisqu'il est à tous, est un nom qui dans sa langue se traduit par personne – non le nemo latin qui gomme toute identité, mais persona dans l'acception de "masque" ; en ce cas, le verbe apocalyptique qui débouche sur l'énigme, sur l'ambiguïté, sur la supercherie ludique.»
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Résumé : «À l'avant d'une modernité dont ce siècle à son déclin se réclame avec superbe, se dresse un homme qui fut obscur, effacé, inconnu de sa concierge, riche d'humour et rayonnant lorsque son miroir intérieur lui renvoyait son reflet futur. "Je ne suis rien", ce n'est pas une parole contrite du saint homme Job, mais un rappel de ce nada ibérique qui est au principe de l'être et à sa terminaison. Trois vers après cette affirmation du néant, survient cette antithèse éclatante : "Je porte en moi tous les rêves du monde" : un feu d'artifice cosmique. "Les poètes n'ont pas de biographie ; leur œuvre est leur biographie." Certes, Octavio Paz, la formule serait irréfutable si une œuvre au pluriel n'impliquait des poètes multiples. Pessoa, le nôtre puisqu'il est à tous, est un nom qui dans sa langue se traduit par personne – non le nemo latin qui gomme toute identité, mais persona dans l'acception de "masque" ; en ce cas, le verbe apocalyptique qui débouche sur l'énigme, sur l'ambiguïté, sur la supercherie ludique.»
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Non, je comprenais dès l'enfance que j'étouffais, que la plupart des gens étaient hypocrites, bêtes ou méchants, je n'avais qu'une hâte, c'était de grandir et de vivre libre. Oui pour le COD, mais je suis en vacances, alors je ne fais pas attention aux fautes ;-)
Le 21 juil. 2024
J'envie ta maturité précoce, personnellement j'ai dû faire une dépression carabinée pour comprendre que ce n'était pas aussi bien que cela. Profites bien de tes vacances. Ton activité sur SC me permet de m'intéresser à des oeuvres auxquelles je ne pensais pas, merci pour aussi bien remplir ta mission d'éclaireuse.
Le 21 juil. 2024
Vacances tranquilles, comme je les aime :-) Surtout, n'hésite pas à me donner tes impressions : les échanges enrichissants sont toujours les bienvenus! Bonne journée, Jean, je suppose
Le 21 juil. 2024
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a attribué 8/10 au livre
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Résumé : «À l'avant d'une modernité dont ce siècle à son déclin se réclame avec superbe, se dresse un homme qui fut obscur, effacé, inconnu de sa concierge, riche d'humour et rayonnant lorsque son miroir intérieur lui renvoyait son reflet futur. "Je ne suis rien", ce n'est pas une parole contrite du saint homme Job, mais un rappel de ce nada ibérique qui est au principe de l'être et à sa terminaison. Trois vers après cette affirmation du néant, survient cette antithèse éclatante : "Je porte en moi tous les rêves du monde" : un feu d'artifice cosmique. "Les poètes n'ont pas de biographie ; leur œuvre est leur biographie." Certes, Octavio Paz, la formule serait irréfutable si une œuvre au pluriel n'impliquait des poètes multiples. Pessoa, le nôtre puisqu'il est à tous, est un nom qui dans sa langue se traduit par personne – non le nemo latin qui gomme toute identité, mais persona dans l'acception de "masque" ; en ce cas, le verbe apocalyptique qui débouche sur l'énigme, sur l'ambiguïté, sur la supercherie ludique.»
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Résumé : «À l'avant d'une modernité dont ce siècle à son déclin se réclame avec superbe, se dresse un homme qui fut obscur, effacé, inconnu de sa concierge, riche d'humour et rayonnant lorsque son miroir intérieur lui renvoyait son reflet futur. "Je ne suis rien", ce n'est pas une parole contrite du saint homme Job, mais un rappel de ce nada ibérique qui est au principe de l'être et à sa terminaison. Trois vers après cette affirmation du néant, survient cette antithèse éclatante : "Je porte en moi tous les rêves du monde" : un feu d'artifice cosmique. "Les poètes n'ont pas de biographie ; leur œuvre est leur biographie." Certes, Octavio Paz, la formule serait irréfutable si une œuvre au pluriel n'impliquait des poètes multiples. Pessoa, le nôtre puisqu'il est à tous, est un nom qui dans sa langue se traduit par personne – non le nemo latin qui gomme toute identité, mais persona dans l'acception de "masque" ; en ce cas, le verbe apocalyptique qui débouche sur l'énigme, sur l'ambiguïté, sur la supercherie ludique.»