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Le Gardien du verger

The Orchard Keeper

1965 • livre de Cormac McCarthy

Résumé : «Depuis quelque temps la route était déserte, blanche encore et calcinée, mais le ciel à l'ouest déjà rouge de soleil. II marchait doucement dans la poussière, s'arrêtant de temps à autre, courtaud volatile disgracieux vacillant sur une patte, pour examiner le tampon de ruban adhésif qui sortait de la semelle de sa chaussure. » Lorsqu'il écrit ces lignes, en 1965, Cormac McCarthy n'est encore qu'un jeune écrivain qui va publier son premier roman. Pourtant, tout ou presque est déjà dans cette phrase inaugurale. Un paysage que le vide rend irréel, où dominent le blanc aveuglant et le rougeoiement du ciel; un personnage à la Chaplin, qui n'existe qu'à travers ses gestes, ses mimiques, ses attitudes, comme privé de monde intérieur, mais bientôt plongé dans un tourbillon de bruit et de fureur : la Prohibition, la crise de 29, des scènes de chasse au petit matin, de jeunes paysannes à demi nues au bord de la rivière, une voiture noire au capot luisant qui fonce dans la nuit. Et toujours cette nature sauvage, violente, intacte, plus ancienne que l'homme, et qui, probablement, lui survivra.

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The Orchard Keeper

1965 • livre de Cormac McCarthy

Résumé : «Depuis quelque temps la route était déserte, blanche encore et calcinée, mais le ciel à l'ouest déjà rouge de soleil. II marchait doucement dans la poussière, s'arrêtant de temps à autre, courtaud volatile disgracieux vacillant sur une patte, pour examiner le tampon de ruban adhésif qui sortait de la semelle de sa chaussure. » Lorsqu'il écrit ces lignes, en 1965, Cormac McCarthy n'est encore qu'un jeune écrivain qui va publier son premier roman. Pourtant, tout ou presque est déjà dans cette phrase inaugurale. Un paysage que le vide rend irréel, où dominent le blanc aveuglant et le rougeoiement du ciel; un personnage à la Chaplin, qui n'existe qu'à travers ses gestes, ses mimiques, ses attitudes, comme privé de monde intérieur, mais bientôt plongé dans un tourbillon de bruit et de fureur : la Prohibition, la crise de 29, des scènes de chasse au petit matin, de jeunes paysannes à demi nues au bord de la rivière, une voiture noire au capot luisant qui fonce dans la nuit. Et toujours cette nature sauvage, violente, intacte, plus ancienne que l'homme, et qui, probablement, lui survivra.

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The Orchard Keeper

1965 • livre de Cormac McCarthy

Résumé : «Depuis quelque temps la route était déserte, blanche encore et calcinée, mais le ciel à l'ouest déjà rouge de soleil. II marchait doucement dans la poussière, s'arrêtant de temps à autre, courtaud volatile disgracieux vacillant sur une patte, pour examiner le tampon de ruban adhésif qui sortait de la semelle de sa chaussure. » Lorsqu'il écrit ces lignes, en 1965, Cormac McCarthy n'est encore qu'un jeune écrivain qui va publier son premier roman. Pourtant, tout ou presque est déjà dans cette phrase inaugurale. Un paysage que le vide rend irréel, où dominent le blanc aveuglant et le rougeoiement du ciel; un personnage à la Chaplin, qui n'existe qu'à travers ses gestes, ses mimiques, ses attitudes, comme privé de monde intérieur, mais bientôt plongé dans un tourbillon de bruit et de fureur : la Prohibition, la crise de 29, des scènes de chasse au petit matin, de jeunes paysannes à demi nues au bord de la rivière, une voiture noire au capot luisant qui fonce dans la nuit. Et toujours cette nature sauvage, violente, intacte, plus ancienne que l'homme, et qui, probablement, lui survivra.

Vincent Vrignaud

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The Orchard Keeper

1965 • livre de Cormac McCarthy

Résumé : «Depuis quelque temps la route était déserte, blanche encore et calcinée, mais le ciel à l'ouest déjà rouge de soleil. II marchait doucement dans la poussière, s'arrêtant de temps à autre, courtaud volatile disgracieux vacillant sur une patte, pour examiner le tampon de ruban adhésif qui sortait de la semelle de sa chaussure. » Lorsqu'il écrit ces lignes, en 1965, Cormac McCarthy n'est encore qu'un jeune écrivain qui va publier son premier roman. Pourtant, tout ou presque est déjà dans cette phrase inaugurale. Un paysage que le vide rend irréel, où dominent le blanc aveuglant et le rougeoiement du ciel; un personnage à la Chaplin, qui n'existe qu'à travers ses gestes, ses mimiques, ses attitudes, comme privé de monde intérieur, mais bientôt plongé dans un tourbillon de bruit et de fureur : la Prohibition, la crise de 29, des scènes de chasse au petit matin, de jeunes paysannes à demi nues au bord de la rivière, une voiture noire au capot luisant qui fonce dans la nuit. Et toujours cette nature sauvage, violente, intacte, plus ancienne que l'homme, et qui, probablement, lui survivra.

Madame_Tortue

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The Orchard Keeper

1965 • livre de Cormac McCarthy

Résumé : «Depuis quelque temps la route était déserte, blanche encore et calcinée, mais le ciel à l'ouest déjà rouge de soleil. II marchait doucement dans la poussière, s'arrêtant de temps à autre, courtaud volatile disgracieux vacillant sur une patte, pour examiner le tampon de ruban adhésif qui sortait de la semelle de sa chaussure. » Lorsqu'il écrit ces lignes, en 1965, Cormac McCarthy n'est encore qu'un jeune écrivain qui va publier son premier roman. Pourtant, tout ou presque est déjà dans cette phrase inaugurale. Un paysage que le vide rend irréel, où dominent le blanc aveuglant et le rougeoiement du ciel; un personnage à la Chaplin, qui n'existe qu'à travers ses gestes, ses mimiques, ses attitudes, comme privé de monde intérieur, mais bientôt plongé dans un tourbillon de bruit et de fureur : la Prohibition, la crise de 29, des scènes de chasse au petit matin, de jeunes paysannes à demi nues au bord de la rivière, une voiture noire au capot luisant qui fonce dans la nuit. Et toujours cette nature sauvage, violente, intacte, plus ancienne que l'homme, et qui, probablement, lui survivra.

Adr1-Van-Zant

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Résumé : «Depuis quelque temps la route était déserte, blanche encore et calcinée, mais le ciel à l'ouest déjà rouge de soleil. II marchait doucement dans la poussière, s'arrêtant de temps à autre, courtaud volatile disgracieux vacillant sur une patte, pour examiner le tampon de ruban adhésif qui sortait de la semelle de sa chaussure. » Lorsqu'il écrit ces lignes, en 1965, Cormac McCarthy n'est encore qu'un jeune écrivain qui va publier son premier roman. Pourtant, tout ou presque est déjà dans cette phrase inaugurale. Un paysage que le vide rend irréel, où dominent le blanc aveuglant et le rougeoiement du ciel; un personnage à la Chaplin, qui n'existe qu'à travers ses gestes, ses mimiques, ses attitudes, comme privé de monde intérieur, mais bientôt plongé dans un tourbillon de bruit et de fureur : la Prohibition, la crise de 29, des scènes de chasse au petit matin, de jeunes paysannes à demi nues au bord de la rivière, une voiture noire au capot luisant qui fonce dans la nuit. Et toujours cette nature sauvage, violente, intacte, plus ancienne que l'homme, et qui, probablement, lui survivra.

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SpannungsBogen

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Georgia2019

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Résumé : «Depuis quelque temps la route était déserte, blanche encore et calcinée, mais le ciel à l'ouest déjà rouge de soleil. II marchait doucement dans la poussière, s'arrêtant de temps à autre, courtaud volatile disgracieux vacillant sur une patte, pour examiner le tampon de ruban adhésif qui sortait de la semelle de sa chaussure. » Lorsqu'il écrit ces lignes, en 1965, Cormac McCarthy n'est encore qu'un jeune écrivain qui va publier son premier roman. Pourtant, tout ou presque est déjà dans cette phrase inaugurale. Un paysage que le vide rend irréel, où dominent le blanc aveuglant et le rougeoiement du ciel; un personnage à la Chaplin, qui n'existe qu'à travers ses gestes, ses mimiques, ses attitudes, comme privé de monde intérieur, mais bientôt plongé dans un tourbillon de bruit et de fureur : la Prohibition, la crise de 29, des scènes de chasse au petit matin, de jeunes paysannes à demi nues au bord de la rivière, une voiture noire au capot luisant qui fonce dans la nuit. Et toujours cette nature sauvage, violente, intacte, plus ancienne que l'homme, et qui, probablement, lui survivra.

Vanessa_Kunz

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1965 • livre de Cormac McCarthy

Résumé : «Depuis quelque temps la route était déserte, blanche encore et calcinée, mais le ciel à l'ouest déjà rouge de soleil. II marchait doucement dans la poussière, s'arrêtant de temps à autre, courtaud volatile disgracieux vacillant sur une patte, pour examiner le tampon de ruban adhésif qui sortait de la semelle de sa chaussure. » Lorsqu'il écrit ces lignes, en 1965, Cormac McCarthy n'est encore qu'un jeune écrivain qui va publier son premier roman. Pourtant, tout ou presque est déjà dans cette phrase inaugurale. Un paysage que le vide rend irréel, où dominent le blanc aveuglant et le rougeoiement du ciel; un personnage à la Chaplin, qui n'existe qu'à travers ses gestes, ses mimiques, ses attitudes, comme privé de monde intérieur, mais bientôt plongé dans un tourbillon de bruit et de fureur : la Prohibition, la crise de 29, des scènes de chasse au petit matin, de jeunes paysannes à demi nues au bord de la rivière, une voiture noire au capot luisant qui fonce dans la nuit. Et toujours cette nature sauvage, violente, intacte, plus ancienne que l'homme, et qui, probablement, lui survivra.