Lire un Robert Silverberg peut être un coup de poker. Il a écrit quelques grands bouquins, je pense notamment à L’homme dans le labyrinthe qui est probablement le seul livre que je relise régulièrement (déjà lu au moins sept ou huit fois…) ou aux Déportés du cambrien. Ces deux romans sont de très bonnes histoires bourrées de bonnes idées, ils exploitent des notions philosophiques et politiques et divertissent tout en faisant réfléchir. Silverberg est capable du meilleur.
Mais il est aussi capable du pire.
Alors je ne dirais pas forcément qu’il s’agit là du pire mais on s’en approche.
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