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1945 • livre de Henri Bosco
Résumé : Quelquefois, tapi sous la haie d'aubépine, je l'épiais, surtout le matin, à l'heure où les enfants sont les plus légers. J'étais ému de la voir courir, çà et là, sans but apparent. Jamais elle ne regardait de mon côté. Quelquefois, essoufflée par l'ardeur de sa course, elle s'arrêtait, haletante, à deux pas de ma cachette. Et alors je la voyais bien, car je pouvais la regarder à loisir. Elle avait de grandes jambes nues, griffées par les ronces, deux yeux verts très foncés, et quelques taches de rousseur sur les bras, au cou. Je la trouvais laide et effrontée.
1945 • livre de Henri Bosco
Résumé : Quelquefois, tapi sous la haie d'aubépine, je l'épiais, surtout le matin, à l'heure où les enfants sont les plus légers. J'étais ému de la voir courir, çà et là, sans but apparent. Jamais elle ne regardait de mon côté. Quelquefois, essoufflée par l'ardeur de sa course, elle s'arrêtait, haletante, à deux pas de ma cachette. Et alors je la voyais bien, car je pouvais la regarder à loisir. Elle avait de grandes jambes nues, griffées par les ronces, deux yeux verts très foncés, et quelques taches de rousseur sur les bras, au cou. Je la trouvais laide et effrontée.
1945 • livre de Henri Bosco
Résumé : Quelquefois, tapi sous la haie d'aubépine, je l'épiais, surtout le matin, à l'heure où les enfants sont les plus légers. J'étais ému de la voir courir, çà et là, sans but apparent. Jamais elle ne regardait de mon côté. Quelquefois, essoufflée par l'ardeur de sa course, elle s'arrêtait, haletante, à deux pas de ma cachette. Et alors je la voyais bien, car je pouvais la regarder à loisir. Elle avait de grandes jambes nues, griffées par les ronces, deux yeux verts très foncés, et quelques taches de rousseur sur les bras, au cou. Je la trouvais laide et effrontée.
1945 • livre de Henri Bosco
Résumé : Quelquefois, tapi sous la haie d'aubépine, je l'épiais, surtout le matin, à l'heure où les enfants sont les plus légers. J'étais ému de la voir courir, çà et là, sans but apparent. Jamais elle ne regardait de mon côté. Quelquefois, essoufflée par l'ardeur de sa course, elle s'arrêtait, haletante, à deux pas de ma cachette. Et alors je la voyais bien, car je pouvais la regarder à loisir. Elle avait de grandes jambes nues, griffées par les ronces, deux yeux verts très foncés, et quelques taches de rousseur sur les bras, au cou. Je la trouvais laide et effrontée.
1945 • livre de Henri Bosco
Résumé : Quelquefois, tapi sous la haie d'aubépine, je l'épiais, surtout le matin, à l'heure où les enfants sont les plus légers. J'étais ému de la voir courir, çà et là, sans but apparent. Jamais elle ne regardait de mon côté. Quelquefois, essoufflée par l'ardeur de sa course, elle s'arrêtait, haletante, à deux pas de ma cachette. Et alors je la voyais bien, car je pouvais la regarder à loisir. Elle avait de grandes jambes nues, griffées par les ronces, deux yeux verts très foncés, et quelques taches de rousseur sur les bras, au cou. Je la trouvais laide et effrontée.
1945 • livre de Henri Bosco
Résumé : Quelquefois, tapi sous la haie d'aubépine, je l'épiais, surtout le matin, à l'heure où les enfants sont les plus légers. J'étais ému de la voir courir, çà et là, sans but apparent. Jamais elle ne regardait de mon côté. Quelquefois, essoufflée par l'ardeur de sa course, elle s'arrêtait, haletante, à deux pas de ma cachette. Et alors je la voyais bien, car je pouvais la regarder à loisir. Elle avait de grandes jambes nues, griffées par les ronces, deux yeux verts très foncés, et quelques taches de rousseur sur les bras, au cou. Je la trouvais laide et effrontée.
Le 27 juin 2023
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Le 3 juin 2023
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1945 • livre de Henri Bosco
Résumé : Quelquefois, tapi sous la haie d'aubépine, je l'épiais, surtout le matin, à l'heure où les enfants sont les plus légers. J'étais ému de la voir courir, çà et là, sans but apparent. Jamais elle ne regardait de mon côté. Quelquefois, essoufflée par l'ardeur de sa course, elle s'arrêtait, haletante, à deux pas de ma cachette. Et alors je la voyais bien, car je pouvais la regarder à loisir. Elle avait de grandes jambes nues, griffées par les ronces, deux yeux verts très foncés, et quelques taches de rousseur sur les bras, au cou. Je la trouvais laide et effrontée.
1945 • livre de Henri Bosco
Résumé : Quelquefois, tapi sous la haie d'aubépine, je l'épiais, surtout le matin, à l'heure où les enfants sont les plus légers. J'étais ému de la voir courir, çà et là, sans but apparent. Jamais elle ne regardait de mon côté. Quelquefois, essoufflée par l'ardeur de sa course, elle s'arrêtait, haletante, à deux pas de ma cachette. Et alors je la voyais bien, car je pouvais la regarder à loisir. Elle avait de grandes jambes nues, griffées par les ronces, deux yeux verts très foncés, et quelques taches de rousseur sur les bras, au cou. Je la trouvais laide et effrontée.
1945 • livre de Henri Bosco
Résumé : Quelquefois, tapi sous la haie d'aubépine, je l'épiais, surtout le matin, à l'heure où les enfants sont les plus légers. J'étais ému de la voir courir, çà et là, sans but apparent. Jamais elle ne regardait de mon côté. Quelquefois, essoufflée par l'ardeur de sa course, elle s'arrêtait, haletante, à deux pas de ma cachette. Et alors je la voyais bien, car je pouvais la regarder à loisir. Elle avait de grandes jambes nues, griffées par les ronces, deux yeux verts très foncés, et quelques taches de rousseur sur les bras, au cou. Je la trouvais laide et effrontée.
Le 8 sept. 2022
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Le 8 sept. 2022
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1945 • livre de Henri Bosco
Résumé : Quelquefois, tapi sous la haie d'aubépine, je l'épiais, surtout le matin, à l'heure où les enfants sont les plus légers. J'étais ému de la voir courir, çà et là, sans but apparent. Jamais elle ne regardait de mon côté. Quelquefois, essoufflée par l'ardeur de sa course, elle s'arrêtait, haletante, à deux pas de ma cachette. Et alors je la voyais bien, car je pouvais la regarder à loisir. Elle avait de grandes jambes nues, griffées par les ronces, deux yeux verts très foncés, et quelques taches de rousseur sur les bras, au cou. Je la trouvais laide et effrontée.
Ceet écrivain il m'a envoutée charmée J'ai lu L''antiquaire Mystique et fantastique de l'ombre
Le 28 août 2022
J'ai envie d'en lire plus encore ; je vais essayer de me procurer ceux dont tu parles. Le Mas Théotime a aussi quelque chose d'un sortilège bizarre.
Le 28 août 2022
Le sortilège bizarre c'est vrai İl y a de cela dans le décor qu est spécial derrière le sel du sud se trouve l'ombre d'une rue et une but que fascinante vielle bizarre ou on ne peut pas faire s'empêcher d'entrer Dommage que j'aie supprimer la critique Faut jamais faire cela
Le 30 août 2022
Le 28 août 2022
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