L'actualité sur Le Métier de vivre
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Il mestiere di vivere
1952 • livre de Cesare Pavese
Résumé : «Un homme seul, dans une baraque, qui mange le gras et la sauce d’une marmite. Certains jours il la racle avec un vieux couteau ; certains autres avec ses ongles ; il y a longtemps la marmite était pleine et bonne, maintenant elle est aigre et, pour en sentir le goût, l'homme ronge ses ongles cassés. Et il continuera demain et après. Il me ressemble à moi qui cherche du travail dans mon cœur.» Le métier de vivre, c’est d’abord, pour Cesare Pavese, celui d’écrire. Et c’est pourquoi son «journal intime» fait partie des œuvres majeures du XXe siècle sur la création. Mais le lecteur trouvera dans ces pages d’autres sources d’émotion et de réflexion. Car Pavese se met à nu. Jour après jour, il s’interroge sur le sexe, les femmes, l’amour, l’amitié : la finitude et la mort aussi. Ses mots vibrants et sans concession font écho à nos peurs et à nos combats. À notre métier - celui de vivre.
Il mestiere di vivere
1952 • livre de Cesare Pavese
Résumé : «Un homme seul, dans une baraque, qui mange le gras et la sauce d’une marmite. Certains jours il la racle avec un vieux couteau ; certains autres avec ses ongles ; il y a longtemps la marmite était pleine et bonne, maintenant elle est aigre et, pour en sentir le goût, l'homme ronge ses ongles cassés. Et il continuera demain et après. Il me ressemble à moi qui cherche du travail dans mon cœur.» Le métier de vivre, c’est d’abord, pour Cesare Pavese, celui d’écrire. Et c’est pourquoi son «journal intime» fait partie des œuvres majeures du XXe siècle sur la création. Mais le lecteur trouvera dans ces pages d’autres sources d’émotion et de réflexion. Car Pavese se met à nu. Jour après jour, il s’interroge sur le sexe, les femmes, l’amour, l’amitié : la finitude et la mort aussi. Ses mots vibrants et sans concession font écho à nos peurs et à nos combats. À notre métier - celui de vivre.
Il mestiere di vivere
1952 • livre de Cesare Pavese
Résumé : «Un homme seul, dans une baraque, qui mange le gras et la sauce d’une marmite. Certains jours il la racle avec un vieux couteau ; certains autres avec ses ongles ; il y a longtemps la marmite était pleine et bonne, maintenant elle est aigre et, pour en sentir le goût, l'homme ronge ses ongles cassés. Et il continuera demain et après. Il me ressemble à moi qui cherche du travail dans mon cœur.» Le métier de vivre, c’est d’abord, pour Cesare Pavese, celui d’écrire. Et c’est pourquoi son «journal intime» fait partie des œuvres majeures du XXe siècle sur la création. Mais le lecteur trouvera dans ces pages d’autres sources d’émotion et de réflexion. Car Pavese se met à nu. Jour après jour, il s’interroge sur le sexe, les femmes, l’amour, l’amitié : la finitude et la mort aussi. Ses mots vibrants et sans concession font écho à nos peurs et à nos combats. À notre métier - celui de vivre.
Il mestiere di vivere
1952 • livre de Cesare Pavese
Résumé : «Un homme seul, dans une baraque, qui mange le gras et la sauce d’une marmite. Certains jours il la racle avec un vieux couteau ; certains autres avec ses ongles ; il y a longtemps la marmite était pleine et bonne, maintenant elle est aigre et, pour en sentir le goût, l'homme ronge ses ongles cassés. Et il continuera demain et après. Il me ressemble à moi qui cherche du travail dans mon cœur.» Le métier de vivre, c’est d’abord, pour Cesare Pavese, celui d’écrire. Et c’est pourquoi son «journal intime» fait partie des œuvres majeures du XXe siècle sur la création. Mais le lecteur trouvera dans ces pages d’autres sources d’émotion et de réflexion. Car Pavese se met à nu. Jour après jour, il s’interroge sur le sexe, les femmes, l’amour, l’amitié : la finitude et la mort aussi. Ses mots vibrants et sans concession font écho à nos peurs et à nos combats. À notre métier - celui de vivre.
Il mestiere di vivere
1952 • livre de Cesare Pavese
Résumé : «Un homme seul, dans une baraque, qui mange le gras et la sauce d’une marmite. Certains jours il la racle avec un vieux couteau ; certains autres avec ses ongles ; il y a longtemps la marmite était pleine et bonne, maintenant elle est aigre et, pour en sentir le goût, l'homme ronge ses ongles cassés. Et il continuera demain et après. Il me ressemble à moi qui cherche du travail dans mon cœur.» Le métier de vivre, c’est d’abord, pour Cesare Pavese, celui d’écrire. Et c’est pourquoi son «journal intime» fait partie des œuvres majeures du XXe siècle sur la création. Mais le lecteur trouvera dans ces pages d’autres sources d’émotion et de réflexion. Car Pavese se met à nu. Jour après jour, il s’interroge sur le sexe, les femmes, l’amour, l’amitié : la finitude et la mort aussi. Ses mots vibrants et sans concession font écho à nos peurs et à nos combats. À notre métier - celui de vivre.