Premier roman publié en 1999 de l’écrivain et dramaturge estonien Andrus Kivirähk, traduit par Jean Pascal Ollivry pour les belles éditions Le Tripode en janvier 2017, «Le papillon» transforme en une fable mélancolique et universelle – dans laquelle on retrouve la nostalgie et l’humour de «L’homme qui savait la langue des serpents» – l’aventure merveilleuse et fragile d’un théâtre et d’une troupe de comédiens en Estonie au début du XXème siècle, des années 1910 à la première guerre mondiale, rempart contre la violence et la barbarie de l’époque.
August Michelson, le narrateur, un homme d’origine modeste né en 1880 voit son quotidien à l’horizon limité, entre son emploi de serrurier à l’usine et son domicile, radicalement transformé au début des années 1910, lorsqu’il croise un couple à l’allure extravagante qui le recrute pour devenir acteur au théâtre Estonia. Ce jour marque l’éclosion de sa vie, comme une deuxième naissance.
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