Le papillon
6.9
Le papillon

livre de Andrus Kivirähk (1999)

La fragile naissance du théâtre estonien. Un éloge mélancolique de la culture, merveilleux comme un

Premier roman publié en 1999 de l’écrivain et dramaturge estonien Andrus Kivirähk, traduit par Jean Pascal Ollivry pour les belles éditions Le Tripode en janvier 2017, «Le papillon» transforme en une fable mélancolique et universelle – dans laquelle on retrouve la nostalgie et l’humour de «L’homme qui savait la langue des serpents» – l’aventure merveilleuse et fragile d’un théâtre et d’une troupe de comédiens en Estonie au début du XXème siècle, des années 1910 à la première guerre mondiale, rempart contre la violence et la barbarie de l’époque.


August Michelson, le narrateur, un homme d’origine modeste né en 1880 voit son quotidien à l’horizon limité, entre son emploi de serrurier à l’usine et son domicile, radicalement transformé au début des années 1910, lorsqu’il croise un couple à l’allure extravagante qui le recrute pour devenir acteur au théâtre Estonia. Ce jour marque l’éclosion de sa vie, comme une deuxième naissance.


La suite sur mon blog ici :
https://charybde2.wordpress.com/2017/01/14/note-de-lecture-le-papillon-andrus-kivirahk/

MarianneL
7
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.

Créée

le 15 janv. 2017

Critique lue 322 fois

MarianneL

Écrit par

Critique lue 322 fois

D'autres avis sur Le papillon

Le papillon
MarianneL
7

La fragile naissance du théâtre estonien. Un éloge mélancolique de la culture, merveilleux comme un

Premier roman publié en 1999 de l’écrivain et dramaturge estonien Andrus Kivirähk, traduit par Jean Pascal Ollivry pour les belles éditions Le Tripode en janvier 2017, «Le papillon» transforme en une...

le 15 janv. 2017

Du même critique

La Culture du narcissisme
MarianneL
8

Critique de La Culture du narcissisme par MarianneL

Publié initialement en 1979, cet essai passionnant de Christopher Lasch n’est pas du tout une analyse de plus de l’égocentrisme ou de l’égoïsme, mais une étude de la façon dont l’évolution de la...

le 29 déc. 2013

36 j'aime

4

La Fin de l'homme rouge
MarianneL
9

Illusions et désenchantement : L'exil intérieur des Russes après la chute de l'Union Soviétique.

«Quand Gorbatchev est arrivé au pouvoir, nous étions tous fous de joie. On vivait dans des rêves, des illusions. On vidait nos cœurs dans nos cuisines. On voulait une nouvelle Russie… Au bout de...

le 7 déc. 2013

35 j'aime

Culture de masse ou culture populaire ?
MarianneL
8

Un essai court et nécessaire d’un observateur particulièrement lucide des évolutions du capitalisme

«Aujourd’hui il ne suffit plus de transformer le monde ; avant tout il faut le préserver. Ensuite, nous pourrons le transformer, beaucoup, et même d’une façon révolutionnaire. Mais avant tout, nous...

le 24 mai 2013

32 j'aime

4