Fervente lectrice de Chattam, ce diptyque pourtant prometteur (Paris en 1900, une période riche en événements que j'affectionne particulièrement) est à mes yeux bien en dessous du niveau de ses précédents ouvrages...
Ces deux romans laissent une impression vague de facilité, une sorte de "La psycho pour les nuls" romancée.
Un peu déçue donc: même si le style est toujours bon (d'où mon 6/10), l'(auto-)analyse perpétuelle de Guy de Timée m'a parue pompeuse, et ce "héros" a fini par passablement me gonfler.
J'espère que "La conjuration primitive" me réconciliera avec le Chattam que j'aime.