C'est toujours aussi difficile de rédiger une chronique sur un livre qui ne m'a rien apporté. J'ai trouvé ma lecture insipide, fade sans début ni fin.
Une note de l'éditeur dit sur la quatrième de couverture : "Le Rouge vif de la rhubarbe éclaire à merveille l'œuvre de la grande romancière islandaise." Et ben dit donc avec ça, je suis totalement rassurée sur le fait que je vais avoir du mal à sortir de ma PAL Rosa Candida.
Pourtant je comprends les personnes qui se sont laissés porter ou devrais-je dire bercer par Ágústína, elle affronte son quotidien des rêves plein la tête, et regarde passer les nuages au dessus d'elle et réinvente le monde à sa façon. Ce livre n'est qu'une succession de mini scénettes sans véritable lien les unes avec les autres, c'est presque comme si l'auteure avait décidé de nous balancer au visage des instants de vies décousus. Je n'ai donc pas été sensible à l'histoire et à la plume de notre célèbre romancière islandaise.
J'ai terminé de lire ce livre il y a une semaine, et déjà il ne m'en reste pas grand chose ...
J'ai bien conscience que c'est peut être la chronique la plus courte de mon blog, mais là je ne sais pas quoi vous dire de plus, je ne suis surement pas le meilleur public pour ce genre de littérature.
Pour lire la chronique dans son entier.