Le narrateur mi-homme, mi-bête est un paranoïaque.Son terrier est à la fois un cachot et un abri.La description fait penser à la tuberculose de Kafka.Il y aurait aussi une allusion à un mouvement d' extrême-droite blut and boden sang et terre qui a influencé le nazisme.Une nouvelle angoissante et inachevée, loin de la critique sociale de la Métamorphose
Créée
le 9 juin 2021
Critique lue 81 fois
2 j'aime
Le terrier est une rencontre à laquelle on apporte peu d'intérêt en premier lieu. Mais, plus on apprivoise cet oeuvre, plus l'âme torturée nous enivre de ses lettres. Chaque instant de folie du...
Par
le 20 juin 2024
2 j'aime
Le narrateur mi-homme, mi-bête est un paranoïaque.Son terrier est à la fois un cachot et un abri.La description fait penser à la tuberculose de Kafka.Il y aurait aussi une allusion à un mouvement d'...
le 9 juin 2021
2 j'aime
Selon Pietro Citati, « nous sommes nous aussi emprisonnés, victimes d’une parole qui monologue, solitaire, et raconte, commente, se révèle, se masque, formule des hypothèses, les détruit, envisage...
Par
le 16 oct. 2024
L' auteur ne comprend rien au judaïsme antique et imagine Jésus dans un champ de maïs en Galilée , il y a 2000 ans.Un livre très chrétien en dépit des fantasmes de Jésus sur la Croix.Pas...
le 9 juin 2021
1 j'aime
Le narrateur devient Hitler de nos jours.Il y a une critique très sarcastique de l' U.E.L' auteur se trompe en postulant une influence de Nietzsche sur Hitler et le nazisme.Il y a un érotisme...
le 9 juin 2021
