Encore une fois très adroit et incroyablement sûr dans sa démonstration, Pierre Bayard met ses bonnes idées et son impertinence au service de l'Histoire de la littérature. Ainsi, s'il s'interroge sur la "conception linéaire de la temporalité" et s'amuse à perturber l'ordre des choses à base de "causes postérieures" et de "conséquences antérieures", il offre surtout au lecteur un cours magistral, au sens propre comme au sens figuré, et l'invite à à remettre en question sa lecture des oeuvres.
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