Je n'ai jamais été fan de lovecraft, mais tout le monde adore, et quand quelque chose est sombre, torturé, on invoque son nom. Mais ici, j'ai clairement une meilleur nouvelle dans ce qui apparait être aux autres Lovecraft que dans l'oeuvre de Lovecraft.
Si la première nouvelle ne me parle que peu, je ne suis pas emballé, je pense que l'idée était bonne, mais l'execution me semble trop confuse dans le résultat : Ici Kafka ne réussis pas a faire naitre ce sentiment si particulier propre a lui, si il n'y eu pas son nom sur la couverture je n'eu pas sus qu'elle eu été de lui (j'aime "eu", cela fait bien illusion que je maitrise un temp alors que je n'en n'eu connus que la figure la plus éculé).
La seconde nouvelles, plus connus, m'a fasciné. Difficile de savoir a quel point je regrette qu'elle n'ai pas fait 100, 200 page de plus, le principe m'acroche, l'ambiance est dingue, cette goutte de folie qui se transpose a la suite des pages en une marre, j'adore. J'aime le concept et la mise en page, et c'est certainement le "pitch" de kafka qui m'a le plus attiré jusqu' présent. Même si la nouvelle est finit, et qu'elle se lit bien, j'en étais a la relire, tant tout me semblait bien trouvé et si bien mit en oeuvre. Clairement pas la plus grande histoire de l'auteur, ni même la mieux excecuté, c'est si court, mais clairement celle qui m'a le plus plongé dans les néandres de la folie et du contre-sens.
Si le verdict me laisse froid, à la colonie se révèle être un des meilleurs morceau de se que l'on nomme "Kafkaien."