J'ai détesté le Vicomte Pourfendu. 'tain, mec on est plus au XVIIeme, Voltaire est mort, t'sé ? Tes petits contes moraux sur la dualité de l'être, qui doit se rassembler pour s'accomplir, c'était les conclusions de mes disserts de CM2, alors rentre chez toi, tes yeux puent l'alcool.
J'ai beaucoup aimé le Vicomte Pourfendu. Dans la tradition des contes philosophiques, Calvino rajoute le soupçon de modernité qui va bien, évitant à cette grosse nouvelle de sentir trop la poussière. Éloge du doute et de l'ambiguïté, le Vicomte est un petit écrin d'esprit.