Il est parfois difficile de parler d’un texte bouleversant…
En 2017, Serge Toubiana perdait son épouse, Emmanuèle Benheim, après trente ans de vie commune.
Un seul mot me vient en tête après avoir refermé « Les bouées jaunes » : solaire, même dans la mort, Emmanuèle Bernheim est solaire.
Serge Toubiana remonte le temps, égraine l’histoire familiale de son épouse, leur amitié, les années passées à se frôler professionnellement avant de se rendre à l’évidence, et construire leur Maison du Bonheur sur une île bretonne -cette île est magique, comme je comprends le coup de cœur !
Message d’amour à sa femme ainsi qu’à la scénariste et auteure, il puise dans son oeuvre et envoie un message d’amour à « cette femme qui écrivait vite pour que cela aille vite »…
Si comme moi vous n’avez pas lu « Stallone » d’Emmanuèle Bernheim, vous n’écouterez plus cette chanson comme avant, après la lecture des « bouées jaunes ».
https://unlivreapreslautre.fr/2020/06/22/les-bouees-jaunes-serge-toubiana/