Perec et moi, ça ne collera jamais, je pense.
J'en garde de mauvais souvenirs scolaires, et même en réessayant, avec plus de maturité et de connaissances, plus de recul et beaucoup moins de paresse, je reste de marbre face aux œuvres de cet auteur.
Les Choses m'a presque torturé, autant qu'un livre puisse le faire en tout cas. Je n'en pouvais plus.
Je n'exige pas qu'une verve romanesque traverse tous les romans que j'ai dans la main, mais enfin tout de même : voilà plus de 150 pages de descriptions, de phrases joliment cliniques, de morosité...
J'ai trouvé ça plat, redondant, terne.
J'ai absolument détesté.