Impossible à noter, mais pas à critiquer
Je trouve périlleux de noter cette autobiographie, car il n'y a pas vraiment de critères permettant de le faire. Alors, à la place, j'écris cette critique, pour rappeler qu'aujourd'hui encore, cette oeuvre que j'ai lu y a gentiment dix ans pour la première fois reste un des monuments de la littérature et de la théologie. On suit Augustin dans ses doutes, ses errements, même s'il exagère et se donne le beau rôle, il n'en demeure pas moins attachant. Tiraillé entre christianisme et manichéisme, il offre ici une de ses multiples facettes qui m'interpelle encore. C'est pour cela qu'au final je lui mets 8, même si aucune note me semblerait préférable.