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Bons sentiments
Petite baisse de régime pour Qiu Xiaolong, peut-être parce que le sujet qui sous-tend le récit (entre nous, on n'a pas grand-chose à faire de la mort du patron marron et on devine assez vite le...
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le 3 août 2011
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Bons sentiments
Petite baisse de régime pour Qiu Xiaolong, peut-être parce que le sujet qui sous-tend le récit (entre nous, on n'a pas grand-chose à faire de la mort du patron marron et on devine assez vite le meurtrier), à savoir les rapports entre l'écologie et l'industrie en Chine, mériterait bien plus que des allusions maladroites et un personnage tombé de nulle part. L'inspecteur Chen tombe toujours aussi facilement amoureux, sauf que la fin du roman nous ressort la même rengaine et que, franchement, on aimerait qu'il se bouge un peu, le Camarade Chen. Sinon, la poésie Chinoise est toujours aussi... comment dire... bucolique et gentille (je voudrais aller travailler en Chine un jour, et j'aimerais que cette critique ne soit pas un frein à ma future embauche). Donc, on s'ennuie un peu ; mais cela reste quand même bien.
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le 3 août 2011
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