L'actualité sur Les Femmes s'emmerdent au lit
Les dernières actions
"En fait on aurait pu s'attendre à une certaine critique de la deuxième vague féminisme et plus précisément des intellectuelles des années 80 - l'auteure parle beaucoup de sa jeunesse dans les années 90 - en ciblant essentiellement un certain puritanisme qui a pu affecter les féministes anti-sexe, misandres, ou anti-porno voire partisanes du lesbianisme politique. Cette critique peut très largement être faite, à partir du moment où on reconnaît un discours qui somme toute se réduit à dire : "les...
Le 13 déc. 2024
1. Tout ça est très précis, ce sont les discours de cette période à la Andrea Dworkin qui sont ciblés. 2. Où ai-je dit que c'est un délire de mal baisée ? Je dis que la question de l'accès à la jouissance des femmes dans la sexualité (ce dont traite ce livre) n'a pu devenir sujet de société que grâce aux combats féministes qui n'assignent plus la sexualité des femmes à la reproduction, et qu'on ne peut donc pas accuser les féministes d'être à l'origine d'une absence de jouissance des femmes (qui...
Le 13 déc. 2024
livre de Sonia Feertchak
Résumé : « Longtemps je me suis emmerdée au lit, auprès d'amants qui devaient s'emmerder aussi, sauf qu'à l'époque je ne m'en rendais pas compte. » Pourquoi sommes-nous si nombreuses à nous délecter sans complexe des ébats littéraires et cinématographiques d'une héroïne saucissonnée et fouettée ? Les féministes se seraient-elles battues en vain ? Comment expliquer que l'hypersexualisation des filles fasse tant d'émules alors que cette tendance, directement issue de la pornographie, est à ce titre conspuée ? Pourquoi les hommes n'osent-ils plus montrer leur désir pour des Superwomen revendiquées... qui ne demandent qu'à partager leur énergie vitale ? D'où vient que les images du désir ont déferlé sur notre société, tandis que nous doutons toujours davantage d'être assez désiré(e)s, d'être assez désirant(e)s ? En convoquant Simone de Beauvoir ou Virginie Despentes, mais aussi Balzac, Milo Manara, Demi Moore ou Barbie, Sonia Feertchak se plonge dans l'histoire et la physiologie du désir, interrogeant les notions devenues suspectes de virilité et de féminité pour tenter, enfin, d'analyser pourquoi tant de femmes (et d hommes) s'emmerdent au lit.
livre de Sonia Feertchak
Résumé : « Longtemps je me suis emmerdée au lit, auprès d'amants qui devaient s'emmerder aussi, sauf qu'à l'époque je ne m'en rendais pas compte. » Pourquoi sommes-nous si nombreuses à nous délecter sans complexe des ébats littéraires et cinématographiques d'une héroïne saucissonnée et fouettée ? Les féministes se seraient-elles battues en vain ? Comment expliquer que l'hypersexualisation des filles fasse tant d'émules alors que cette tendance, directement issue de la pornographie, est à ce titre conspuée ? Pourquoi les hommes n'osent-ils plus montrer leur désir pour des Superwomen revendiquées... qui ne demandent qu'à partager leur énergie vitale ? D'où vient que les images du désir ont déferlé sur notre société, tandis que nous doutons toujours davantage d'être assez désiré(e)s, d'être assez désirant(e)s ? En convoquant Simone de Beauvoir ou Virginie Despentes, mais aussi Balzac, Milo Manara, Demi Moore ou Barbie, Sonia Feertchak se plonge dans l'histoire et la physiologie du désir, interrogeant les notions devenues suspectes de virilité et de féminité pour tenter, enfin, d'analyser pourquoi tant de femmes (et d hommes) s'emmerdent au lit.
livre de Sonia Feertchak
Résumé : « Longtemps je me suis emmerdée au lit, auprès d'amants qui devaient s'emmerder aussi, sauf qu'à l'époque je ne m'en rendais pas compte. » Pourquoi sommes-nous si nombreuses à nous délecter sans complexe des ébats littéraires et cinématographiques d'une héroïne saucissonnée et fouettée ? Les féministes se seraient-elles battues en vain ? Comment expliquer que l'hypersexualisation des filles fasse tant d'émules alors que cette tendance, directement issue de la pornographie, est à ce titre conspuée ? Pourquoi les hommes n'osent-ils plus montrer leur désir pour des Superwomen revendiquées... qui ne demandent qu'à partager leur énergie vitale ? D'où vient que les images du désir ont déferlé sur notre société, tandis que nous doutons toujours davantage d'être assez désiré(e)s, d'être assez désirant(e)s ? En convoquant Simone de Beauvoir ou Virginie Despentes, mais aussi Balzac, Milo Manara, Demi Moore ou Barbie, Sonia Feertchak se plonge dans l'histoire et la physiologie du désir, interrogeant les notions devenues suspectes de virilité et de féminité pour tenter, enfin, d'analyser pourquoi tant de femmes (et d hommes) s'emmerdent au lit.