Après plus de 300 pages, je me suis surpris à m'inquiéter du succès de la demande en mariage d'une dragonnelle. Autrement dit, l'ouvrage est bien écrit.
Du côté du contenu, il y a clairement la matière à réflexion, et j'aurais apprécié un préface ou un postface pour cadrer le contexte littéraire (romans victoriens, Anthony Trollope, ...) dans lequel il s'intègre mais aussi la réflexion sociale (anthropologique?) induite par le parti-pris de l'auteur : "un monde où les présupposés des romans sentimentaux de l'époque serainet d'implacables lois de la biologie".