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Femmes contradictoires.
Loin d'être un roman à l'eau de rose, ce 4ème roman de Katherine Pancol s'inscrit dans un ton juste et entraînant. L'auteur nous fige dans ce combat incessant d'une femme entre deux "MOI" : la...
Par
le 12 juin 2012
Allez, n'ayons pas peur des mots, même si j'adore K.Pancol, ce roman m'a un peu déçue. Il faut dire que j'ai commencé par l'incontournable "Les yeux jaunes des crocodiles" et que "Les hommes cruels" entre dans un parti pris complètement différent.
Les errances (senti)mentales de l'héroïne sont parfois un peu difficiles à suivre et, il faut le dire, un peu barbantes par moments. L'écriture un peu lourde (parfois, ces répétitions de mots, même volontaires...rooooonpiiiiiiich...!), et finalement il ne se passe pas grand chose, si ce n'est qu'elle se débarrasse des angoisses au sujet de l'amour que sont charmant papa avaient laissées sur ses épaules avant de décrocher son billet pour l'au-delà.
La phrase du livre qui m'a touchée : "Jamais porter les péchés des autres, ma fille, jamais, tu entends ? Leurs péchés de trouille, de lâcheté qu'ils renvoient sur toi pour que tu leur ressembles. Tu comprends ?"
Les errances (senti)mentales de l'héroïne sont parfois un peu difficiles à suivre et, il faut le dire, un peu barbantes par moments. L'écriture un peu lourde (parfois, ces répétitions de mots, même volontaires...rooooonpiiiiiiich...!), et finalement il ne se passe pas grand chose, si ce n'est qu'elle se débarrasse des angoisses au sujet de l'amour que sont charmant papa avaient laissées sur ses épaules avant de décrocher son billet pour l'au-delà.
La phrase du livre qui m'a touchée : "Jamais porter les péchés des autres, ma fille, jamais, tu entends ? Leurs péchés de trouille, de lâcheté qu'ils renvoient sur toi pour que tu leur ressembles. Tu comprends ?"
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Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Là, j'aurais pu m'abstenir.
Créée
le 12 juin 2011
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Critique de Les hommes cruels ne courent pas les rues par vergienunu
Ah celui là bof.
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le 26 oct. 2011
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