Conte brut et cruel
Ecriture franche et efficace qui fonctionne comme un conte effrayant et cruel. On retrouve par certains côtés les personnages sans concession de Ibsen (particulièrement Brand), un grain de folie...
le 24 mai 2016
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Pendant plus de 600 pages, l'auteur nous présente Dina, sa vie, son apprentissage de la vie. Du drame dans sa petite enfance où par accident elle tue sa mère qui décédera dans d'atroces souffrances, à son mariage forcé avec un homme plus âgé et sa vie dans le Nordland régnant en matrone autoritaire sur sa famille, sa ferme et son commerce, tout nous est dit sur Dina. Ou presque... En tournant la dernière page, une question reste en suspens : la connaissons-nous finalement vraiment ?
Car Dina est une femme à part, loin des stéréotypes de cette fin du XIXème siècle. Indépendante, sauvage, déterminée et surtout libre, elle traverse le temps en bouleversant ses contemporains. Du statut d'orpheline de mère poussant comme une herbe folle, elle deviendra peu à peu la femme que l'on craint et que l'on respecte. Dina ne laisse pas indifférent par son attitude et sa façon d'être. Elle monte à cheval comme un homme, elle fume la pipe et le cigare et ne s'embarrasse pas des convenances.
Lire l'intégralité de la critique sur le blog : http://cafardsathome.canalblog.com/archives/2015/08/17/32499435.html
Créée
le 18 août 2015
Critique lue 257 fois
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