Dans ce troisième tome, Le Hutin a remplacé son père sur le trône et fait tué son épouse pour avoir le champ libre. Guccio doit donc ramener Clémence de Hongrie à la cour pour devenir reine de France. Mais ils sont séparés lorsque Guccio est blessé et on suit ensuite leurs destins séparément.
Guccio retrouve Marie de Cressay, l’épouse enfin, mais en secret. Lorsque les frères de la jeune femme l’apprennent, Guccio est obligé de fuir.
Clémence quant à elle épouse le roi et avec elle seul le Hutin se montre courtois. Il tente de mieux gouverner, mais continue peu à peu à détruire tout ce que son père avait construit avant lui.
De plus, d’Artois et Mahaut s’entre-déchirent leurs terres, mettant en péril dans leur conflit la sécurité de la France toute entière.
Dans ce troisième tome on s’attache surtout aux relations compliquées des couples, entre Guccio et Marie (ou plutôt entre Guccio et la famille de Marie), et entre Clémence et le roi de France. La sensibilité des deux femmes est mise en exergue dans cet imbroglio politique qui les dépasse.
Avec ce tome on épuise un second roi de France et on commence à sentir les prémices de la guerre de cent ans. Ceux qui cherchent à prendre le pouvoir ou la régence commence déjà à penser aux méthodes qu’ils pourraient trouver pour éloigner les femmes du pouvoir.
Même si à chaque fois je pense en avoir encore un peu à lire et que je suis surprise par les annexes, ça ne me donne qu’une envie, lire la suite et redécouvrir l’Histoire de France.