Nous suivons Juliane, une jeune femme dont la vie bascule lorsque son père est contraint de venir vivre avec elle et sa famille. Très vite, elle va devoir se rendre à l’évidence et accepter que Jean déraille un peu. Confrontée à cette réalité, elle doit naviguer entre les souvenirs d’un père autrefois fort et le présent où il devient peu à peu un étranger.
Juliane est sans conteste le personnage dans lequel je me suis le plus reconnue. Les mots posés par Virginie Grimaldi sur son anxiété, son côté “tu seras une bonne fille” ou encore son besoin de contrôle ont tellement résonné en moi. Jean, quant à lui, m’a fortement émue.
Ce qui m’a particulièrement touchée, c’est la manière dont l’autrice réussit à insuffler de l’humour dans des situations dramatiques, rendant le récit à la fois léger et profond. Juliane et son père sont des personnages auxquels on s’attache inévitablement, et leur histoire résonne longtemps après avoir refermé le livre.
Virginie Grimaldi a un talent unique pour aborder des sujets délicats avec une plume percutante, pleine de tendresse et d’humour. « Les possibles » ne fait pas exception, c’est un véritable concentré d’émotions : il m’a fait rire, pleurer et réfléchir. Le roman explore la complexité des émotions et des relations familiales face à une maladie dégénérative, mettant en lumière l’amour, la patience, et parfois l’épuisement que cela implique.
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