Après la lecture du cinquième opus, j'avais vite envie de conclure l'une des meilleures sagas jamais écrites dans l'histoire de la littérature. Une nouvelle fois on n'est pas déçu. On se retrouve à vingt décennies plus loin par rapport aux dernières aventures. Forcément, Elijah Baley est mort. Mais son esprit est toujours là grâce aux robots et Gladia. Mais c'est surtout grâce à Daneel, qui à force d'avoir côtoyé Baley, s'est mis à réagir presque comme une humain. La grande nouveauté réside dans la création d'une nouvelle loi de la Robotique, qui est celle de la loi zéro. Et elle n'est pas inventée par des hommes, mais bien par Daneel. Elle va avoir une influence considérable. Une fois encore, un plaisir que de lire Asimov, proposant une fin ouverte, mais également pleine d'émotion. Il ne fait nul doute que cet écrivain était un génie, même si cet opus me semble un peu stagner vers le milieu dans l'avancement de l'histoire.