Euh c'était assez court et simple à lire (heureusement vu que je devais me grouiller et que j'aime dormir) un peu prétentieux dans la modestie mais ça m'a donné un bon horizon du monde de la poésie, à relire pour prendre le temps d'y réfléchir.
Une légère ironie s'empare de moi quand je relis l'introduction de Kappus qui parle de sa vie qui le "fit dériver vers des domaines dont la chaleureuse, la douce et touchante attention du poète eût précisément voulu (le) tenir éloigné" alors que Rilke insiste à chaque lettre sur le fait que le beau se trouve partout pour qui sait bien regarder.
Bref je vais faire plaisir à une proche et ça c'est cool.
Je suis tout ému, c'est ma première critique, vous avez sans doute pu remarquer ma tendance au sérieux et que je me "méfie de l'ironie" comme le recommande chef Rilke.
Pourquoi commencer par une œuvre que je n'ai pas appréciée à sa juste valeur me direz-vous ? Pour que vous soyez encore plus déçu.e.s quand je serai sérieux.