«Je ne comprendrai jamais pourquoi, lors des cérémonies de funérailles, on essaie de nous faire croire qu’il y a une vie après la mort et que le défunt n’avait, de son vivant, que des qualités.»
Ainsi débute le roman d’Emmanuel Venet, publié en août 2016 aux éditions Verdier, savoureux monologue intérieur d’un narrateur atteint d’un syndrome d’Asperger, syndrome qui le contraint à une absolue franchise. Assistant aux funérailles de sa grand-mère, il est donc exaspéré par l’écart entre les propos élogieux de l’oraison funèbre et la réalité.
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