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florilège
Pour le coup je me retrouve assez et même très d'accord avec ce texte de Céline, qui m'amuse aussi du fait que sa critique n'est pas finalement si différente de ce qu'on pourrait faire aujourd'hui...
Par
le 18 juil. 2024
Mea culpa de quoi?
Quand on fait son mea culpa, c'est que l'on reconnaît une faute a priori morale. Or, ici ce n'est pas le cas, il s'agit juste d'une erreur de jugement. Si le capitalisme soviétique ou plus précisément le stalinisme est une imposture, lui avoir fait confiance en est aussi une.
Se faire voir aux côtés du peuple, par les temps qui courent, c'est prendre une "assurance-nougat". Pourvu qu'on se sente un peu juif ça devient une "assurance-vie".
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le 11 oct. 2016
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