L'actualité sur Méharées
Les dernières actions
1937 • livre de Théodore Monod
Résumé : Dix mai, au puits d'Aguenni, à trente kilomètres de Tombouctou : dernière nuit de vrai désert, pas très solitaire d'ailleurs. Les bergers ont puisé, je crois, du soir au matin ; chœur des bœufs, des moutons et des bourricots, auquel ne manque qu'une seule voix, celle du petit veau qui est tombé hier dans le puits et qui s'est tué. Et puis c'est la grand-route du Nord, très fréquentée en cette saison de retour d'azalaï. Longs défilés silencieux de chameaux glissant dans la nuit, a clair de lune. Spectacle assez solennel, presque grandiose : ces rames incessantes lancées à la file indienne, monstre sans fin, articulé, mécanique, évoquent je ne sais quelle bête colossale, à la fois une et multiple, une sorte de titanesque scolopendre aux pattes innombrables, animée d'un rythme lent, mais décidé, implacable, irrésistible.
1937 • livre de Théodore Monod
Résumé : Dix mai, au puits d'Aguenni, à trente kilomètres de Tombouctou : dernière nuit de vrai désert, pas très solitaire d'ailleurs. Les bergers ont puisé, je crois, du soir au matin ; chœur des bœufs, des moutons et des bourricots, auquel ne manque qu'une seule voix, celle du petit veau qui est tombé hier dans le puits et qui s'est tué. Et puis c'est la grand-route du Nord, très fréquentée en cette saison de retour d'azalaï. Longs défilés silencieux de chameaux glissant dans la nuit, a clair de lune. Spectacle assez solennel, presque grandiose : ces rames incessantes lancées à la file indienne, monstre sans fin, articulé, mécanique, évoquent je ne sais quelle bête colossale, à la fois une et multiple, une sorte de titanesque scolopendre aux pattes innombrables, animée d'un rythme lent, mais décidé, implacable, irrésistible.
1937 • livre de Théodore Monod
Résumé : Dix mai, au puits d'Aguenni, à trente kilomètres de Tombouctou : dernière nuit de vrai désert, pas très solitaire d'ailleurs. Les bergers ont puisé, je crois, du soir au matin ; chœur des bœufs, des moutons et des bourricots, auquel ne manque qu'une seule voix, celle du petit veau qui est tombé hier dans le puits et qui s'est tué. Et puis c'est la grand-route du Nord, très fréquentée en cette saison de retour d'azalaï. Longs défilés silencieux de chameaux glissant dans la nuit, a clair de lune. Spectacle assez solennel, presque grandiose : ces rames incessantes lancées à la file indienne, monstre sans fin, articulé, mécanique, évoquent je ne sais quelle bête colossale, à la fois une et multiple, une sorte de titanesque scolopendre aux pattes innombrables, animée d'un rythme lent, mais décidé, implacable, irrésistible.
1937 • livre de Théodore Monod
Résumé : Dix mai, au puits d'Aguenni, à trente kilomètres de Tombouctou : dernière nuit de vrai désert, pas très solitaire d'ailleurs. Les bergers ont puisé, je crois, du soir au matin ; chœur des bœufs, des moutons et des bourricots, auquel ne manque qu'une seule voix, celle du petit veau qui est tombé hier dans le puits et qui s'est tué. Et puis c'est la grand-route du Nord, très fréquentée en cette saison de retour d'azalaï. Longs défilés silencieux de chameaux glissant dans la nuit, a clair de lune. Spectacle assez solennel, presque grandiose : ces rames incessantes lancées à la file indienne, monstre sans fin, articulé, mécanique, évoquent je ne sais quelle bête colossale, à la fois une et multiple, une sorte de titanesque scolopendre aux pattes innombrables, animée d'un rythme lent, mais décidé, implacable, irrésistible.
1937 • livre de Théodore Monod
Résumé : Dix mai, au puits d'Aguenni, à trente kilomètres de Tombouctou : dernière nuit de vrai désert, pas très solitaire d'ailleurs. Les bergers ont puisé, je crois, du soir au matin ; chœur des bœufs, des moutons et des bourricots, auquel ne manque qu'une seule voix, celle du petit veau qui est tombé hier dans le puits et qui s'est tué. Et puis c'est la grand-route du Nord, très fréquentée en cette saison de retour d'azalaï. Longs défilés silencieux de chameaux glissant dans la nuit, a clair de lune. Spectacle assez solennel, presque grandiose : ces rames incessantes lancées à la file indienne, monstre sans fin, articulé, mécanique, évoquent je ne sais quelle bête colossale, à la fois une et multiple, une sorte de titanesque scolopendre aux pattes innombrables, animée d'un rythme lent, mais décidé, implacable, irrésistible.
1937 • livre de Théodore Monod
Résumé : Dix mai, au puits d'Aguenni, à trente kilomètres de Tombouctou : dernière nuit de vrai désert, pas très solitaire d'ailleurs. Les bergers ont puisé, je crois, du soir au matin ; chœur des bœufs, des moutons et des bourricots, auquel ne manque qu'une seule voix, celle du petit veau qui est tombé hier dans le puits et qui s'est tué. Et puis c'est la grand-route du Nord, très fréquentée en cette saison de retour d'azalaï. Longs défilés silencieux de chameaux glissant dans la nuit, a clair de lune. Spectacle assez solennel, presque grandiose : ces rames incessantes lancées à la file indienne, monstre sans fin, articulé, mécanique, évoquent je ne sais quelle bête colossale, à la fois une et multiple, une sorte de titanesque scolopendre aux pattes innombrables, animée d'un rythme lent, mais décidé, implacable, irrésistible.
1937 • livre de Théodore Monod
Résumé : Dix mai, au puits d'Aguenni, à trente kilomètres de Tombouctou : dernière nuit de vrai désert, pas très solitaire d'ailleurs. Les bergers ont puisé, je crois, du soir au matin ; chœur des bœufs, des moutons et des bourricots, auquel ne manque qu'une seule voix, celle du petit veau qui est tombé hier dans le puits et qui s'est tué. Et puis c'est la grand-route du Nord, très fréquentée en cette saison de retour d'azalaï. Longs défilés silencieux de chameaux glissant dans la nuit, a clair de lune. Spectacle assez solennel, presque grandiose : ces rames incessantes lancées à la file indienne, monstre sans fin, articulé, mécanique, évoquent je ne sais quelle bête colossale, à la fois une et multiple, une sorte de titanesque scolopendre aux pattes innombrables, animée d'un rythme lent, mais décidé, implacable, irrésistible.