"Quand je suis sur la place du Chatêau, entouré des hautes réserves de viandes, le visage tourné vers les dix galeries qui en partent, et dont chacune, conformément au plan global, s'enfonce ou remonte, en ligne droite ou en décrivant une courbe, en s'élargissant ou en se rétrécissant, toutes uniformément silencieuses et vides - alors je suis à cent lieues de songer à la sécurité, je sais exactement qu'ici c'est mon château, celui que je me suis conquis sur ce sol rétif à force de gratter et mordre, de tasser et de taper, mon château qui ne saurait en aucune façon appartenir à quelqu'un... Voir plus
Critique de Arsenic et vieilles dentelles par Hans Mosibtos
Comédie burlesque par excellence, Arsenic et vieille dentelle marque la seule représentation à l’écran de Cary Grant sous la caméra de Frank Capra et on le regrette, l’acteur est intenable avec ses...
Critique de Réveil dans la terreur par Hans Mosibtos
Si Réveil dans la terreur choque autant au visionnage, ce n'est pas moins pour la crédibilité inquiétante de son scénario que pour ses scènes d'une violence rare (on pense notamment à la chasse aux...