L'actualité sur Melmoth
Les dernières actions
Melmoth the Wanderer
1820 • livre de Charles-Robert Maturin
Résumé : On ne raconte pas Melmoth : on ne raconte pas un labyrinthe. Construit en abîme selon un vertigineux emboîtage de récits, il brosse avec fureur, six cents pages durant, la vie d'un « héros » possédé par le mal, pour qui le temps n'existe pas. On en sort sans voix. Roman, mais aussi bien recueil kaléidoscopique de fictions savamment mêlées, le livre nous entraîne en divers pays à diverses époques – en particulier dans l'Espagne de l'Inquisition, dont le révérend Maturin laisse un portrait terrifiant qu'auraient pu signer Sade ou Goya. Toujours le lecteur se trouve pris au dépourvu, dans les lacs d'un imaginaire où l'on ne peut que perdre pied, chaque chapitre creusant un peu plus l'escalier de l'enfer.
Melmoth the Wanderer
1820 • livre de Charles-Robert Maturin
Résumé : On ne raconte pas Melmoth : on ne raconte pas un labyrinthe. Construit en abîme selon un vertigineux emboîtage de récits, il brosse avec fureur, six cents pages durant, la vie d'un « héros » possédé par le mal, pour qui le temps n'existe pas. On en sort sans voix. Roman, mais aussi bien recueil kaléidoscopique de fictions savamment mêlées, le livre nous entraîne en divers pays à diverses époques – en particulier dans l'Espagne de l'Inquisition, dont le révérend Maturin laisse un portrait terrifiant qu'auraient pu signer Sade ou Goya. Toujours le lecteur se trouve pris au dépourvu, dans les lacs d'un imaginaire où l'on ne peut que perdre pied, chaque chapitre creusant un peu plus l'escalier de l'enfer.
Melmoth the Wanderer
1820 • livre de Charles-Robert Maturin
Résumé : On ne raconte pas Melmoth : on ne raconte pas un labyrinthe. Construit en abîme selon un vertigineux emboîtage de récits, il brosse avec fureur, six cents pages durant, la vie d'un « héros » possédé par le mal, pour qui le temps n'existe pas. On en sort sans voix. Roman, mais aussi bien recueil kaléidoscopique de fictions savamment mêlées, le livre nous entraîne en divers pays à diverses époques – en particulier dans l'Espagne de l'Inquisition, dont le révérend Maturin laisse un portrait terrifiant qu'auraient pu signer Sade ou Goya. Toujours le lecteur se trouve pris au dépourvu, dans les lacs d'un imaginaire où l'on ne peut que perdre pied, chaque chapitre creusant un peu plus l'escalier de l'enfer.