Pour répondre à mon cours sur les culturals sutdies j'avais besoin de matière. L'ennemie juré de mon prof et de tous ceux qui soutiennent le Parti des Indigène de la République reste immanquablement la terrible et terrifiante Caroline Fourest.
Pour tout vous dire, je prend un malin plaisir à prononcer son nom dans les couloirs de Paris 8, rien que pour les voir leurs yeux s´écarquiller de rage et de passion... Ha les gauchistes ...
Le livre commence sur une introduction toute tiers-mondiste :
En 1933 un Juif avait déposé un plainte à l'AG de la société des nations pour les persécutions subit par le régime Nazi. Goebbels avait répondu que chaque pays est maitre chez sois.
En 1945, alors que la décolonisation devient une ardente nécessité, Charles Malik défend la nécessité de mettre les droits de l’homme (DUDH) au cœurs du projet de l'ONU et cela devant l'écrasante majorité. Seul l'Afrique du sud, l'Arabie Saoudite et quelques autres pays refusent et demane un droit différencié.
Qu'est ce qui c'est passé pour que l'universalisme soit, à ce point décrier, moqué , dénaturé et rangé au coin des vieilleries ? C'est un fait, les différentialistes ont gagné : sous couvert d'exception religieuse ou de "valeurs occidentales", on bafoue les droits de l’homme qui se voulaient universelle. Si l'exemple est évident dans les relation international. Il pose plus de questions sur les cas interne aux pays.
Ici, Fourest prend le taureaux par les cornes : voiles, discrimination positive, listes paritaires et répond aux questions en s'appuyant sur beaucoup d'exemple de modèle politique non-universaliste tel que le Canda et l' Angleterre. Le constat est claire, à chaque fois que des arrangements avec tel communauté ou tel religion, cela à provoqué des égarements et des tensions internes.
Le multi-culturalisme est un échec dans tout les pays anglo-saxon. A tel point que tous en reviennent pour se rapprocher du modèle français.
J'entends déjà les mauvaises langues critiquer le fait que la majorité des exemples tiré du livre concernent l'islam. C'est un fait et j'aurais préféré qu'elles trouvent des exemples venant d'autres religions. Malheureusement, comme vont le prouver les commentaires de ce message, les haters vont se focaliser là dessus et perdre tout l’intérêt du débat que suscite ce livre. Ils vont, encore une fois, désigner Fourest comme une islamophobe qu'elle n'est pas.
A ceux là, je les invite fortement à quitter leur préjugé forgé sur les réseaux sociaux et autre pour lire dans le texte l'auteure.
L'important, est de penser concrètement la société demain. Quel doit être la place de l'état face aux particularisme linguistique, historique ou religieux ? Quel outil avons nous pour construire l'État de demain ? Quel loi devons nous mettre en place pour créer du vivre ensemble ?
Fourest répond : L'universalisme et la laïcité républicaine.
Je la suis évidement de son combat.