Auteur qui ne maîtrise visiblement pas bien son sujet. Un simple exemple: le terme "programmateur" utilisé à d'innombrables reprises pour parler des "programmeurs". Ensuite, les dialogues faussement "djeuns" par moment qui contrastent terriblement avec d'autres échanges bien trop intellectuels et cultivés entre des ados (a priori geeks et peu enclins à une écoute attentive durant un court d'histoire). Mais ce qui m'a surtout dérangé, c'est le côté réac' du propos. En fait, le message et les clichés distillés tout au long sont tout aussi réac' que les dérives que l'auteur tente de dénoncer. Bref, trouvez un moyen de revenir en 1996 pour apprécier ce roman. Mais plus de 20 ans après, si No Pasaran est plutôt bien écrit, il désespère par les clichés accouchés au kilomètre et son message maladroit...