Un jour je déverserai le fiel qu’ils méritent sur ces petits bouquins à couverture hideuse, que leurs éditeurs commandent auprès d’enseignants en quête d’argent de poche, font imprimer vite et mal et vendent à prix pas si vil. Ils enseignent à faire bien des choses, mais pas à lire de la littérature.
Fourre plutôt ton nez acnéique dans des recueils de Buzzati et de Cortázar que tu trouveras au CDI, petit quatrième aux doigts tachés d’encre ! (Et délivre-toi de Gavalda !)
Alcofribas
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le 12 mars 2015

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Alcofribas

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