Nouvelles sous coke
Quelqu'un peut dire à Beigbeder que sniffer comme un porc n'a jamais transformé un écrivain médiocre en Bret Easton Ellis? Ce bouquin, par le désespoir littéraire qu'il émet, me rappelle l'Hyper...
le 1 août 2011
13 j'aime
1
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Déceptions. et Quand on s'ennuie dans le train on peut emporter avec soi...
Créée
le 19 oct. 2010
Critique lue 993 fois
10 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur Nouvelles sous ecstasy
Quelqu'un peut dire à Beigbeder que sniffer comme un porc n'a jamais transformé un écrivain médiocre en Bret Easton Ellis? Ce bouquin, par le désespoir littéraire qu'il émet, me rappelle l'Hyper...
le 1 août 2011
13 j'aime
1
"Okay.", ça veut dire : mékécekecékecettemerde ? Et c'est vraiment la question que je me suis posée en lisant ça. C'est trop court pour être prenant, trop répétitif pour être intéressant, trop...
Par
le 19 oct. 2010
10 j'aime
1
Je l'ai lu à treize ans, et je ne sais plus pourquoi, j'ai écrit au crayon après chaque nouvelle un résumé, une "petite critique". J'avais aimé à l'époque. Je l'ai relu il y a peu, à bientôt vingt et...
Par
le 14 déc. 2010
8 j'aime
Du même critique
On a reproché ici même à Kundera de se complaire dans la méta-textualité, de débiter des truismes à la pelle, de faire de la philosophie de comptoir, de ne pas savoir se situer entre littérature et...
Par
le 11 mars 2013
154 j'aime
10
Les critiques que j'ai pu lire de Salo présentent surtout le film comme une dénonciation du fascisme, une transposition de Sade brillante, dans un contexte inattendu. Evidemment il y a de ça. Mais ce...
Par
le 6 mai 2012
71 j'aime
7
Et je m'étonne que cela ait été si peu souligné. Haïssable, détestable, affreux. Allons, c'est facile à voir. C'est flagrant. Ça m'a crevé les yeux et le cœur. Montherlant est un (pardonnez-moi le...
Par
le 21 mars 2017
50 j'aime
5