Il faut dire que je collectionne les livres des Editions de Minuit, comme d’autres les vignettes Panini. J’en ai déjà un bon mètre cinquante linéaire sur mes étagères. Echenoz, Gailly, Chevillard, Oster, Volodine, ...
Et Toussaint donc.
Que m’aura apporté la lecture de Nue, hormis 1 cm de ‘enlarge your library’ ?
Deux scènes initiales fantastiques (épisode apiculto-tokyoïte) composant environ la moitié du livre. Puis une longue coda italienne plutôt ennuyeuse.
Et puis voilà. Fini. Bien entendu, on est admiratif devant le style, l’intelligence, la finesse, les fausses pistes et les vrais traits d’humour. Mais au total je reste sur ma faim, encore. C’est tout de même très léger tout ça.
PS : Je titrai ma critique de ‘L’urgence et la patience (2012)’ : “A la prochaine, Jean-Philippe”. On recommence.