Pour son troisième roman, Adam Sternbergh nous offre, selon son éditeur, un récit à la croisée de la Quatrième dimension et de l’univers de Quentin Tarantino. Si, comme souvent, les qualités vantées dans la quatrième de couverture sont un tantinet exagérées, Population : 48 s’inscrit dans la droite ligne éditoriale des éditions Super 8 et s’avère donc un roman décalé et plaisant, à défaut d’être aussi jouissif qu’un long-métrage de l’éminent réalisateur de Pulp Fiction.
Critique complète : http://www.litteratureetculture.com/adam-sternbergh-population48-critique.html